Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Mourir sans enrichir les vautours

    Grenoble ville innovante ? Il arrive fréquemment que notre pauvre vieille technopole soit en retard d’un train, et que des initiatives percutantes viennent d’ailleurs et pas d’ici. Pour cet épisode : comment aller au paradis sans enrichir des vautours ? À transposer dans la cuvette. Ou pas.

  • Balance ton (directeur de) daubé

    Ça doit être un oubli. Mais c’est embêtant quand même : les lecteurs du Dauphiné Libéré n’ont pas pu lire une information pourtant très intéressante. Ne voyons pas le mal partout : l’erreur est humaine.

  • La connerie du XXIème siècle

    C’est un des nombreux points communs entre les piollistes et les macronistes, et tous ceux qui n’ont que le mot « progrès » à la bouche : croire qu’il y a un sens de l’Histoire et qu’on avancerait forcément vers quelque chose de mieux. Alors pour vanter leur réalisation, tous disent souvent que c’est « du XXIème siècle », et puis pour critiquer leurs adversaires, ils répètent souvent que leurs arguments sont « du XXème siècle ».

  • Villard-Bonnot, terre maudite ?

    Triple peine à Villard-Bonnot. Nos lecteurs se souviennent que certains habitants de ce village du Grésivaudan doivent déjà subir les nuisances de Terralys.

  • Un campus policé ?

    À quand l’ouverture d’un master en maintien de l’ordre ? Ces derniers temps, on voit de plus en plus les flics sur le campus, par exemple pour protéger les conseils d’administration de l’université Grenoble-Alpes (UGA).

  • Silence imposé suite à un incident à la Villeneuve

    Sabrine habite à la Villeneuve et a un fils scolarisé en CE1/CE2 dans l’école des Trembles. École où il y a eu, le 26 janvier dernier un « incident loin d’être anodin ».

  • Colas-Roy : le menteur qui récidive

    Les lecteurs du Postillon s’en souviennent : Jean-Charles Colas-Roy est un fieffé menteur

  • Nongirac 2020

    En mai, on va fêter un gros cinquantenaire : la fin de la carrière de journaliste d’Alain Carignon. Connu par la suite pour une brillante carrière dans la corruption municipale, le jeune Carignon, 19 ans en 1968, écrivait pour l’Essor de l’Isère, un hebdomadaire catholique. C’est même lui qui « couvrait » les manifestations de mai 1968, tout en étant par ailleurs responsable de l’Union des jeunes pour le progrès, les jeunes gaullistes. Si certaines articles étaient marqués de son vrai patronyme, d’autres (...)

  • Olivier Véran & l’hôpital qui bout d’austérité

    On a l’impression que les pires choses arrivent inéluctablement. Que c’est le sens de l’histoire. Depuis une vingtaine d’années, par exemple, le système de santé français se dégrade petit à petit, entraînant des conditions de travail de plus en plus dures pour les soignants et « en même temps » des prises en charge de moindre qualité pour les soignés.
    Cette évolution n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, personne ne se présentera aux élections en disant « je veux flinguer l’hôpital public » ou « je veux que les vieux meurent dans leur caca dans des Ehpad en sous-effectifs ». Et pourtant cette évolution gouverne.
    Cette lente dégradation est la conséquence de choix politiques et économiques. Ces choix, ils sont faits par des humains, des vrais. Bien souvent, il n’y a pas de grands leaders, personne à désigner pour dire « c’est sa faute », mais plein de bons soldats qui chacun « font leur part ». Ils votent des baisses de budget, ils appellent sans cesse à des « réorganisations » ou « modernisations » guidées par la seule quête de la rentabilité, ils ignorent les contestations, ou les écoutent avec « bienveillance » sans rien remettre en cause. En Isère, on a un cas d’école avec Olivier Véran, le député macroniste de la première circonscription de l’Isère. Le bébé-Fioraso est également neurologue à l’hôpital de Grenoble, désormais dénommé Chuga (CHU-Grenoble Alpes). Alors l’hôpital il connaît bien, mais jusqu’à ce qu’une grave crise éclate cet automne à celui de Grenoble, il accompagnait avec zèle baisse du budget et libéralisation.

  • Jacqueline Hubert & l’hôpital qui joue avec le privé

    Baisse de budget. Pression sur le personnel. Direction verticale obnubilée par la privatisation d’un service public. À la tête du CHU de Grenoble, Jacqueline Hubert suit à la lettre les directives de l’État. Cette doctrine destructrice basée sur la baisse des coûts fait quand même quelques heureux : des acteurs privés, qui découvrent plein de nouveaux marchés. D’ailleurs la directrice du CHU a eu pendant un temps une société de conseil embauchée par le privé, avant de faire disparaître les traces de ce mélange des genres.

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