Dans une double page du Daubé (4/03/2015), les patrons isérois se plaignent de la lenteur du TGV entre Paris et Grenoble. Les tarifs exorbitants de la SNCF, peu importe : être à trois heures de la capitale, c’est une hé-ré-sie. Le patron de la CCI Jean Vaylet se lamente : « Jusqu’à 2h30, c’est supportable, mais dès que l’on passe les trois heures pour aller à Paris, c’est difficile. Surtout quand on doit effectuer un aller-retour dans la journée ». Devant une telle « difficulté » et au vu des récents événements, Le Postillon ne peut que conseiller aux patrons isérois de prendre l’avion.