Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Nous ne sommes toujours pas omniscients…

    … Alors aidez-nous ! On est souvent interloqués par l’interpellation de lecteurs qui nous abordent en nous disant : « Ah j’imagine que vous avez vu ce que X (une maire d’une petite commune ou un obscur start-upper) a dit (ou fait) ». Ou alors qui nous donnent le début d’une info en nous disant « À vous de fouiller maintenant. Vous n’avez qu’à éplucher les 248 arrêtés préfectoraux ou regarder 28 heures de conseil métropolitain pour confirmer ce que je dis... » On a parfois l’impression que (…)

  • La fête à Foncia

    Dans Le Postillon n°76, on documentait « la gestion calamiteuse de quantité de copropriétés » par le mastodonte immobilier Foncia, due à des « histoires de gros sous et de remplacement des humains par des robots ». Depuis, on a reçu pas mal de coups de fils de copropriétaires désemparés… et d’autres tout contents de s’en être débarrassés. Ainsi le 27 septembre, les habitants de l’immeuble Malherbe E ont organisé un apéro pour fêter avec eux « le nouvel air qui flotte depuis le départ de (…)

  • Mon épicier
est un robot formidable

    Contre les déserts médicaux, il y a des bornes de « téléconsultation » et contre les déserts commerciaux, il y aura bientôt les « épiceries connectées » de la société Api. D’abord développées dans l’Ouest de la France, les « apiceries » vont bientôt arriver en Isère, où un appel à candidatures a été lancé, car « plus de quatre-vingt communes répondent aux critères d’éligibilité, à savoir être en zone rurale à plus de cinq minutes d’un supermarché » (Les Affiches, 5/09/2025). Concrètement, il (…)

  • Courrier

    [(
    Le Bistrot
 des 1 000 Vaches
    L’article du dernier numéro sur le Minimistan, tiers-lieu summum de la branchitude grenobloise, a suscité diverses réactions dont ces deux-là :
    « Une remarque sur votre article sur le Minimistan : j’aurais aimé plus de chiffres sourcés pour continuer de confirmer cette fumisterie, notamment sur le financement original du lieu, ou des données permettant de démontrer la vampirisation économique sur le quartier. Je sors de la lecture avec une confirmation (…)

  • La marche
 connectée

    Bien entendu, la situation des « aidants familiaux », personnes qui accompagnent au quotidien un proche gravement malade, est toujours difficile et parfois tragique. Si toute initiative pour les soulager est la bienvenue, est-ce une raison pour lancer des nouveaux concepts connectés particulièrement ineptes ? Entre le 18 septembre et le 2 octobre 2025, la Mutualité sociale agricole (MSA) des Alpes du Nord et l’association Bulle d’air® (proposant des « solutions de répit » pour les aidants) (…)

  • Le soleil en cage : un réacteur nucléaire à Fontaine !

    La foire aux projets délirants et flippants ne connaît pas de pause dans l’agglomération. Comme il faudra bien trouver de l’énergie pour alimenter toutes les usines à puces et autres supercalculateurs énergivores, le « laboratoire grenoblois » veut aussi innover sur la production d’électricité. Le groupe Grothendieck met en lumière, dans deux articles publiés dans le journal La Décroissance et sur le site Lundi Matin, la start-up Renaissance Fusion, basée à Fontaine, dont le but n’est rien (…)

  • Le Vert vide (qu’on ne plaint pas)

    Jusqu’à sa réélection en 2020, tout réussissait au maire de Grenoble. Depuis, la carrière d’Éric Piolle semble être une chute sans fin. Après avoir échoué à placer un de ses proches à la tête de la Métropole, il s’est ramassé à la primaire des Verts pour la présidentielle de 2022, finissant quatrième sur cinq. Pendant son second mandat, alors que de nombreux élus ont quitté avec fracas le navire de la majorité municipale, il en a été réduit à multiplier les petites phrases polémiques pour (…)

  • Pfas à pfas

    Notre journal a déjà largement documenté la pollution de l’eau réalisée par les industries de la microélectronique STMicro et Soitec, que ce soit au niveau des quantités hallucinantes d’azote et de phosphore rejetées (Le Postillon n°70) ou des polluants éternels que sont les Pfas (Le Postillon n°73). Ces importantes pollutions de cet élément indispensable à la vie n’ont pas l’air d’inquiéter du tout les élus de la communauté de communes du Grésivaudan qui préfèrent plutôt « faire la chasse » (…)

  • Petite annonce

    Nous sommes le Réseau antimilitariste Isère (Rami), un petit groupe de travail grenoblois en lien avec l’observatoire des armements (Obsarm) situé à Lyon. Nous cherchons à rentrer en contact avec des travailleurs des entreprises STMicroelectronics, Lynred, Teledyne, Tronics, etc., qui pourraient nous donner des informations sur les composants militaires et duaux de leur firme. Pour nous contacter : reseau_antimilitariste_38@riseup.net ou relais@obsarm.info

  • Les affreux bétonneurs vont faire pousser des usines de
50 mètres de haut

    En 2023, on dressait le portrait de Jean-François Clappaz, le vice-président de la communauté de communes au développement industriel, en « jardinier artificiel » (Le Postillon n°69). On détaillait notamment les multiples zones d’activité qu’il se battait pour agrandir et faire ainsi pousser du béton de partout, urbanisant de plus en plus cette vallée autrefois entièrement agricole. Deux ans plus tard, les responsables de la com’ com’ ont enfin adressé un droit de réponse via Le Daubé (…)