Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Pauvre Martin, pauvre misère

    C’est une question qui avait traversé quantité d’articles du Postillon les premières années du premier mandat de Piolle : comment se fait-il que la France insoumise – qui à l’époque s’appelait le parti de Gauche – ait défendu sans réserve les politiques menées à Grenoble, en avalant quantité de couleuvres et sans jamais se démarquer des politiques austéritaires menées par les écolos (notamment avec le « plan de sauvegarde » de 2016) ? Cette « soumission » nous a toujours étonnés : on avait (…)

  • Vivre fibre ou mourir

    « La fibre partout et pour tous ! » C’est la grande ambition égalitaire du Département de l’Isère, qui annonce vouloir « connecter 100% des Isérois au réseau fibre optique en 2025 ». Et pour ce faire, un demi-milliard d’euros d’argent public est investi, dont 70 millions d’euros du Département, 100 millions d’euros de l’État, 68 millions de la Région ou 46 millions d’euros des intercommunalités. C’est toujours ça que les hôpitaux ou les structures sociales n’auront pas… D’autant que le (…)

  • Pages de publicité

    Réédition du livre sur le Néron Bonne nouvelle ! Il y a deux ans, nous avions fait un article à la gloire de ce bon vieux Néron, le sommet le plus atypique de la région grenobloise, en se basant sur les informations d’un livre intitulé sobrement Le Néron. Un « objet livresque non identifié » attaquant cette montagne par tous les versants « botanique, géologique, topographique, étymologique, et surtout humain. Car ses pentes escarpées et dangereuses regorgent d’histoires humaines étonnantes (…)

  • Robert et les « balayures » électroniques

    C’est l’histoire de la dernière ferme de Saint-Martin-d’Hères. Celle qui a connu l’époque d’avant le tout-béton. Mais qui devrait bientôt disparaître sous les constructions. C’est l’histoire de Robert, et de sa vieille remorque qui nous a permis de vivre une charmante aventure en la faisant parader dans les rues de Grenoble.

  • éssorées comme des serpillières

    L’État est pourtant censé montrer l’exemple. Sur la question du ménage, deux grèves récentes ont montré que le modèle défendu par les représentants de l’État en Isère était celui de la sous-traitance et de la dégradation des conditions de travail pour les salariées. À Science-Po Grenoble, l’école des futures élites, le ménage, auparavant réalisé par des salariées de l’institution, a été sous-traité. Pour la Préfecture, les impôts ou la Direction départementale des territoires, la sous-traitance était déjà effective depuis longtemps. Mais une tentative de coup de force du nouveau délégataire Élior-Derichebourg a entraîné une grève longue et pugnace de la part des salariées. Certaines d’entre elles nous racontent leurs difficiles conditions de travail et le combat mené.

  • Morts pylônes

    Dans la station des Deux Alpes, se déroule depuis l’année dernière un des plus gros chantiers de remontées mécaniques de l’arc alpin, au prix exorbitant de 148 millions d’euros. Une énorme logistique grippée depuis cet hiver à cause… d’une erreur de calcul de la part de l’industriel Poma. Depuis trois mois, la station s’agite pour essayer de rattraper la boulette en démontant puis remontant des pylônes dont certains font soixante mètres de haut. Retour sur ce fiasco et les multiples enjeux et entourloupes de cette nouvelle étape de destruction de la montagne.

  • Les potins du patin

    Pour rafraîchir ce numéro estival, quoi de mieux qu’un petit tour à la patinoire ? Cet hiver, Le Postillon est allé traîner ses patins à glace à Pôle Sud, à la rencontre des habituées et visiteurs occasionnels de ce lieu de mixité et de sociabilité rare. Voilà-t-y pas que notre journal se met au publireportage...

  • Laaiiisseeeez paaaasser les p’tits cailloux !

    Tout commence par un courrier dans la boîte aux lettres. Expéditeur : le FLC ou Front de libération de cailloux.
    «  Salut Le Postillon. Avez-vous vu ces milliers de cailloux enfermés dans des gabions le long de l’autoroute A480 ? Quelle infamie ! Entassés par millions dans des cages le long d’une deux fois trois voies surpolluée sans perspective d’évasion…  »

  • Liberez les nappes

    Vous pensiez qu’on avait fini de vous parler de cailloux ? C’est mal connaître l’étendue du sujet qui nous permet de faire une subtile transition avec les quatre pages à venir sur la pollution des nappes phréatiques grenobloises par les industries locales. Plongeons donc dans le scandale des pollutions passées, présentes et futures de nos précieuses nappes phréatiques. Et avant le grand bain, une petite mise à l’eau pour introduire ce sujet.

  • Pollueur très mauvais payeur

    Il y a un an, Le Daubé (10/05/23) titrait « Nappe phréatique polluée : les premiers travaux cet été ». De quoi faire penser que la nappe allait vraiment être dépolluée par l’industriel Solvay selon le principe du « pollueur-payeur ». En fait, il n’en est rien ! Déjà il n’est pas possible de dépolluer une nappe. Et puis les travaux entrepris, de faible ampleur, ne visent qu’à réduire l’impact de pollutions futures. Retour sur un nouvel enfumage.