Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Quizz Municipal nécrologique

    • Quel maire de Grenoble est mort au cours d’une réunion publique sans terminer son mandat, ce chacal  ?
    • Quel maire de Grenoble est né et mort à La Morte (c’est la classe, non) ?
  • Le Lyon-Turin commence à faire des dégâts.

    Le Lyon-Turin, ce projet de nouvelle liaison ferroviaire à travers les Alpes qui prévoit au total la réalisation de 130 kilomètres de tunnels, cumule les avantages pour les élus du coin. Non seulement il permettra de «  désenclaver  » Grenoble et le reste des Alpes (il faut dire que la région, parsemée d’autoroutes, est vraiment enclavée et loin de tout), mais en plus ce projet, qui devrait coûter près de 24 milliards d’euros, serait «  écologique  ». Argument fallacieux pour plusieurs raisons, et notamment pour l’impact qu’aura ce chantier colossal sur les territoires traversés.

  • Chimie : des fuites... «  sans conséquences  »

    En octobre dernier Le Postillon titrait «  à Jarrie, les ravages de la chimie  ». Depuis, les fuites en tous genres se succédent, et c’est Le Daubé qui vous en informe, soyez rassurés (...)

  • Les magiciens du SMTC

    Le SMTC (Syndicat Mixe des Transports en Commun de l’agglomération grenobloise), comme nombre de collectivités locales, utilise régulièrement des images de synthèse pour vanter ses projets. Grâce à ces images, on se projette dans un autre temps, celui du futur, souvent verdoyant, calme et sans aspérité.

  • À Échirolles et Pont-de-Claix, la criée interdite

    Afin de faire connaître Le Postillon, notre commercial en charge du sud de l’agglomération a tenté de le vendre à la criée sur les marchés d’Échirolles et de Pont-de-Claix. Double échec. A Échirolles, le printemps dernier, il s’est fait interpeller au bout de quelques minutes par une adjointe municipale

  • Clinatec n’a pas été inauguré

    Pour éviter les manifestations à l’occasion d’inaugurations d’instituts scientifiques contestés, les promoteurs de la technopole grenobloise ont décidé... d’annuler les inaugurations. En 2006, l’inauguration de Minatec «  premier pôle européen pour les nanotechnologies  » avait été perturbée par la première manifestation mondiale contre les nanotechnologies, réunissant un millier de personnes dans les rues de Grenoble.

  • Cause toujours, ça intéresse la ville

    Rions un peu avec la démocratie participative, un concept beaucoup mis en avant par la municipalité depuis le début du troisième mandat Destot. À tel point qu’une «  charte de la démocratie locale  » a été pondue, avec force communication. Cette charte est mise à mal depuis quelques mois par plusieurs collectifs d’habitants (...)

  • 12 000 entrées, zéro idée

    Début novembre, à la MC2 : encore un «  forum  » citoyen, reprenant la bonne vielle recette des experts d’accord sur l’essentiel déblatérant devant un public docile. Cette fois ça s’appelait «  Refaire société  » et c’était organisé par «  La République des Idées  », le fan-club de Pierre Rosanvallon, une des têtes pensantes de la droite complexée, alias le Parti Socialiste.

  • Monéo 1 - Humains 0

    On en avait parlé dans le dernier numéro du Postillon : depuis la rentrée 2011, les étudiants grenoblois sont contraints par le Crous de s’équiper d’une carte Monéo pour bénéficier du tarif étudiant dans les restos U. Dans le même temps, la cafétéria du Rabot, une résidence étudiante située au pied de la Bastille et accueillant plus de 500 étudiants, a fermé ses portes.

  • À Jarrie, les ravages de la chimie

    En ce mois de septembre 2011, un anniversaire est passé plus inaperçu qu’un autre. Si personne n’a pu manquer la commémoration du 11/09, les dix ans de l’accident d’AZF à Toulouse ont par contre beaucoup moins squatté journaux papiers et télévisés. Malgré plus de 30 morts, 2500 blessés et de considérables dégâts matériels, aucune «  guerre contre le terrorisme  » de l’industrie chimique n’a été déclarée et l’interminable procès a abouti à une relaxe générale. Plus jamais ça ? Rien n’est moins sûr, à Toulouse comme dans les communes du sud-grenoblois de Jarrie et de Pont-de-Claix, où les plateformes chimiques font la fierté des décideurs.