Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Silence, les robots dansent

    Il y a des soirs où on se sent vraiment vieux con. Ainsi ce samedi 2 juillet, deux flâneurs pourtant jeunes du Postillon sont allés errer à la soirée «  Silence on danse  » organisée dans le cadre du Cabaret Raté au parc Paul Mistral.

  • La Métro vendue à Eiffage - suite

    Comme nous l’avions annoncé dans le numéro précédent, la communauté de communes La Métro a passé une convention avec Eiffage, «  leader européen du BTP et des concessions  » pour réfléchir, moyennant près d’un million d’euros, à l’agglomération «  post-carbonne  » de demain.

  • Le Conseil Général de l’Isère expulse

    «  Si le collectif continue d’occuper cette maison, cela empêchera d’héberger une famille qui a besoin d’un toit  » : c’est par cette phrase étonnante que José Arias, vice-président du conseil général chargé de l’action sociale, avait justifié l’automne dernier la volonté du conseil général de chasser le collectif La Patate Chaude (...)

  • Impossible chez vous ?

    Dans le cadre de la campagne de propagande de la municipalité grenobloise sur les nuisances, Le Postillon propose sa contribution.

  • Terra Nova Isère, le nouveau fan-club de Destot

    Les partis politiques ont depuis quelque temps délégué la réflexion et la production d’idées à quelques think-tanks («  groupes de réflexion  », en anglais dans le texte), regroupements d’experts désirant penser à la place du peuple (jugé trop bête pour ça) et imposer leurs propositions.

  • Mort du GF38 : Grenoblois, tous coupables et fiers de l’être

    L’année footballistique qui vient s’annonce un peu fade : on ne pourra plus avoir la petite joie simple que l’on éprouvait à l’annonce de chaque nouvelle défaite du GF38 pendant les deux dernières saisons.

  • Le lièvre et les chemins tortueux

    Lecteurs, lectrices, approchez-vous donc que je vous narre un conte moderne (1). L’histoire prend place dans les contrées de Chartreuse, à Saint-Pierre-de-Chartreuse exactement. Une bourgade d’environ 800 habitants située à une trentaine de kilomètres de Grenoble, en plein milieu d’un massif que d’aucuns qualifieraient de charmant, entre forêts épaisses, sommets accessibles, gorges mystérieuses et grandes falaises calcaires. Tellement charmant que depuis 1995, un Parc Naturel Régional est censé protéger l’endroit et préserver son environnement.

  • Derrière le mythe Grenoblois : un désert industriel

    À Grenoble il n’y a pas de charbon, pas de pétrole, pas de métal précieux. Il y a mieux : à Grenoble, il y a de l’eau. Aux origines de la Cuvette, elle a façonné notre paysage. C’est par elle que l’hydroélectricité autrefois, et la microélectronique aujourd’hui, ont colonisé ce territoire. L’eau est la matière première de l’industrialisation locale, mais elle est surtout à la source des deux mythes industriels locaux : la houille blanche et les nouvelles technologies.

  • La métropole trace son sillon

    De tout temps, les chefs de guerre ont eu pour principale ambition de diriger un maximum de soldats, pour d’évidentes raisons de supériorité numérique de «  chair à canons  ». Aujourd’hui où la guerre est devenue économique (en Occident du moins), et où baïonnettes et bunkers ont été troqués contre éprouvettes et «  World Trade Center  », les dirigeants cherchent toujours à voir grossir la masse de leurs administrés pour pouvoir «  peser  » au niveau international, et pour la santé de leurs égos. La compétitivité d’un territoire se mesure alors au nombre de ses habitants et à l’étendue de ses constructions.

  • «  Il est gentil Jeannot  »

    Directeur du CEA-Grenoble (Commissariat à l’Énergie Atomique) ; directeur de la recherche technologique et directeur délégué aux énergies renouvelables au CEA-France ; membre de l’Académie des Technologies et de multiples conseils d’administration ; président du High Level Group « Key Enabling Technologies » à la Commission Européenne... Jean Therme a des journées bien remplies et n’a rien à envier aux politiques cumulant les mandats. Lui n’a jamais été élu, est inconnu du grand public et porte pourtant de lourdes responsabilités dans des domaines publics.