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  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Grenoble – Ouaga  : Secret Stories

    Novembre 2009. Grenoble fêtait ses 10 ans de jumelage avec Ouagadougou, capitale du Burkina Faso. Cet échange nous est vendu comme une référence en matière de coopération décentralisée. Avec l’émotion en prime. «  Ensemble, c’est tout  », c’est le ton des Nouvelles de Grenoble1 pour dresser régulièrement le portrait d’une histoire qui marche. Dessous d’une saga qui tourne mal.

  • Michel «  Radis d’or  » Destot

    Une fois de plus, notre dévoué maire a vu ses efforts récompensés. Après avoir travaillé pendant tant d’années, s’être dépensé sans compter, voilà qu’il vient d’accrocher une nouvelle décoration à sa veste déjà parsemée de médailles. Le journal Fakir vient de lui remettre le «  radis d’or  », récompensant le «  moins socialiste des socialistes  ».

  • Faits divers et différents

    Le «  lynchage d’un jeune cartographe  » début avril a fait l’objet dans le Daubé de 4 unes consécutives, d’une manchette et d’une dizaine d’articles. Total : 20 524 caractères, sans compter l’ample médiatisation nationale.

  • Le pouvoir de la barbiche

    Après les Forums Libération 1 et 2, après les Rencontres de la «  Nouvelle Critique Sociale  » et «  Réinventer la démocratie  », la MC2 accueille à nouveau un pince-fesses du 18 au 20 juin prochain. Libération s’acoquine cette fois ci avec Le Nouvel Obs pour organiser les «  Etats Généraux du Renouveau  ». Du renouveau de quoi ? De journaux moribonds à la recherche d’annonceurs et d’une visibilité en province ?

  • Le «  produit Grenews  »

    Impossible de passer à côté du centième numéro de Grenews, le gratuit grenoblois lancé par le groupe Le Dauphiné Libéré (voir «  Pourquoi le Daubé est-il daubé », Le Postillon N°4). 60 000 numéros tirés au lieu de 40 000, et des pubs dans les sucettes de la ville pour marquer cet événement majeur. Le «  produit Grenews  » ne manque pas de thune.

  • Et voilà l’interview intelligente

    Sur le site de Destot, on pouvait lire, le 10 mai 2010 : «  Je vous invite à lire l’interview que j’ai accordée au Monde.fr, au sujet des liens étroits entre nouvelles technologies, attractivité économique et qualité de vie au sein des métropoles à l’heure de la mondialisation.  » Bonnes poires, on clique sur le lien, qui nous amène, non pas au site du Monde.fr, mais à une de ces succursales, réalisée «  en partenariat avec IBM  » et répondant au doux nom de «  planete-plus-intelligente.lemonde.fr  ».

  • Grenoble sur la voie de Singapour ?

    Dans cette fameuse «  interview  », Destot dit «  regarder attentivement l’expérience de Singapour qui a réussi le mariage entre développement et aménagement urbain (...)  ».

  • Censure municipalo-préfectorale

    Le 10 mai, c’est la «  journée de la mémoire de la Traite Négrière, de l’Esclavage et de leur abolition  ». Depuis plusieurs années a lieu une commémoration à Grenoble. C’est l’occasion d’un discours du maire, du préfet et surtout de Michel Reynaud, président du CTNE (Comité Traite Négrière Esclavage). Son intervention l’an passé n’avait guère plu aux autorités, un peu trop engagée à leur goût.

  • Amour, glaires et beauté

    Connaissez-vous Mister Brown ? C’est le meilleur vendeur à la criée de toute la cuvette grenobloise. Inlassablement motivé, il vend Le Postillon et d’autres journaux sans pub par monts et caniveaux. En manif comme sur le marché, la voix toujours claironnante même face à l’hostilité. Il a poussé le défi jusqu’à tenter de vendre des Postillon devant l’entrée du meeting du P.S. aux régionales, le 11 mars à Alpexpo.

  • Plaidoyer pour l’affichage sauvage

    La rumeur court depuis un moment et est revenue à nos oreilles dernièrement. La municipalité grenobloise voudrait en finir avec l’affichage sauvage et envisage de mettre des contraventions aux contrevenants. Une rumeur confirmée par une discussion avec deux employés municipaux en train de décoller des affiches sous le pont de l’Estacade : «  La mairie en a marre, ça lui coûte trop cher. Dans pas longtemps, elle va mettre des amendes.  »