Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • La Marianne d’or, un prix insignifiant

    Le grand bal des prix pipés continue pour Grenoble et son mandarin. Destot s’est vanté d’avoir reçu fin 2010 la «  Marianne d’Or 2010 du Développement Durable  », comme s’il s’agissait d’une grande performance. Or ce trophée a l’air d’être – au mieux – une bonne plaisanterie.

  • Une ville de 200 kilomètres de long

    Connaissez-vous le projet de Sillon Alpin, cette continuité urbaine de Genève à Valence voulue par les décideurs afin de pouvoir «  peser dans la compétition internationale  » ?

  • La place Saint-Bruno sous surveillance

    Ça pousse, ça pousse. Alors que les caméras «  annoncées  » au Jardin de Ville, à la Capuche et au Village Olympique sont en train d’être installées, une autre nouvelle, «  surprise  », vient d’être installée sur la place Saint-Bruno (...)

  • Histoire en quatre actes

    Sur la page Wikipédia du Dauphiné Libéré, il y a une bibliographie. Dans cette bibliographie figurent les références du bouquin "Pourquoi Le Daubé est-il daubé ?" publié par Le Postillon (éditions Le monde à l’envers).

  • Grève à la ville de Grenoble

    À la ville de Grenoble, c’est comme au niveau national : on parle surtout de sécurité, de sécurité et de sécurité. Depuis plus d’un an, pas un mois ne passe sans que l’on entende parler des policiers municipaux : de leur grève pour demander plus de moyens, de l’extension de leurs horaires, de l’augmentation de leurs effectifs, de leur possible armement...

  • La subvention au culot

    Voilà la carte postale qu’on s’arrache à Grenoble en ce début d’année 2011 et l’explication de l’artiste, Stéphane D., l’artiste qui l’a conçue (...)

  • Pourquoi Le Postillon vote à droite 

    462 sur 1500, ce n’est pas le classement du dernier tube de Pep’s au hit-parade, mais le nombre d’exemplaires du dernier Postillon vendus à la criée lors de trois des manifestations qui ont animé le mois d’octobre. Soit presque le tiers.

  • Postiers à la recherche d’une riposte

    Cet automne, les défilés grenoblois n’auront pas été marqués par les élans de manifestations sauvages d’une jeunesse débordante d’énergie rageuse et ses jets de pommes pourries ou ses renvois de lacrymos. Contrairement aux mouvements de 2006 (CPE) et 2008 (lycées), et contrairement à d’autres villes comme Lyon, les étudiants et lycéens grenoblois sont restés cette année plutôt calmes.
    On retiendra plutôt de cet automne l’impuissance de milliers de salariés remplis de colère. Contre la réforme des retraites bien sûr, mais aussi contre la dégradation de leurs conditions de travail, le népotisme du pouvoir, l’arrogance des élites, etc. Le ras-le-bol et l’exaspération n’ont jamais été aussi profonds depuis des dizaines d’années

  • L’Opération Campus part en cacahuètes

    Cela devait être le projet qui allait redonner le sourire aux étudiants, sauver l’université grenobloise, la faire briller de mille feux et la propulser dans le Top 50 du classement de Shanghai. Mais pour l’instant l’Opération Campus «  Grenoble Université de l’Innovation  » se résume surtout à de petites chamailleries et vives engueulades, liées à l’avidité de ses bâtisseurs et la stupidité de la logique libérale. Le Postillon est parvenu à poser un micro dans une salle de réunion et vous donne un aperçu des tensions et dissensions internes.

  • Les tentacules d’un groupe presque totalitaire

    Bien avant Facebook, Le Dauphiné Libéré a toujours pris soin de se faire beaucoup «  d’amis  ». Découvrons comment l’étendue du réseau de partenariats du quotidien local lui permet de consolider sa position d’institution incontournable et incritiquable.