Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Piolle et Bensaid, les deux révolutionnaires qui font rêver les maternités

    Il y a peu, Piolle se présentait comme un combattant acharné contre la vente de la clinique mutualiste de Grenoble à Bernard Bensaid, surnommé le « Bernard Tapie du médico-social ». Mais depuis, il est entré en campagne présidentielle : pour gagner en popularité, il est prêt à tout. Le 5 mai, pour soutenir la grève nationale des sages-femmes à l’occasion de leur Journée internationale, Piolle a choisi d’offrir un Facebook Live d’une demi heure à la directrice de la maternité de cette même (…)

  • Courrier des lecteurs

    Le Postillon, un motif de démission ?
    Ancienne habitante de Lyon où j’ai eu le plaisir de vous lire grâce à vos anciens numéros commandés, je réitère une commande de numéros afin d’apprécier le ton de votre plume. Et le format de votre journal papier qui me suit partout et où j’ai entre autres glissé les justificatifs de fin de contrat suite à ma démission. A. R.
    Le Postillon, promoteur de la cuvette
    Abonné au Postillon habitant Paris, je travaille à La Poste. L’article du n°59 sur le (…)

  • BeFC, le papier connecté

    Pour Présences (31/05/2021), c’est une des entreprises symboles du « renouveau industriel en région grenobloise ». BeFC devrait produire ses premières « biopiles » dans la cuvette d’ici 2022. Qu’est-ce que c’est, des biopiles ? Selon la communication, ce sont des « systèmes de cellules à biocarburants écologiques ultra-minces, flexibles et miniatures à base de papier ». En gros ce sont des piles en papier (donc « entièrement compostables ») qui produiraient de l’électricité « à base de sucre (…)

  • Atos et les compteurs communicants

    Afin de favoriser la sobriété, la métropole lance une nouvelle application ! Et le pire c’est qu’elle est développée par la multinationale Atos, qui a simplement « pris l’engagement  » de ne pas utiliser les données collectées. Et on est prié de les croire.

  • L’appel des cabines

    Suite de la lutte pour la réinstallation de cabines téléphoniques

  • Germinal : La grosse tête

    Les requins du marketing ont une nouvelle arme : le « growth hacking  » ou piratage de croissance. En gros, il s’agit de vendre du vent en brassant du vent. Mais le pire c’est que ça peut rapporter gros. Germinal, une boîte créée à Grenoble, en a fait son fonds de commerce pour le plus grand bonheur de son fondateur, Grégoire Gambatto, un «  influenceur » au melon toujours en pleine croissance.

  • Un plan qui se déroule (presque) sans accroc

    Depuis la sortie en librairie le 24 février du livre du Postillon, Le Vide à moitié vert – La gauche rouge-verte au pouvoir : le cas de Grenoble, tout se déroule comme prévu – ou presque.

  • Le magasin sans horizon

    Des vieux « réacs » contre des militantes du féminisme et du décolonialisme. C’est cette opposition qui semble structurer l’agonie actuelle vécue par le Magasin des horizons – le centre national d’art contemporain de Grenoble. Et pourtant, comme souvent dans ce genre de polémiques modernes, la réalité est bien plus complexe. Si la directrice Béatrice Josse est défendue par l’ensemble des salariées actuelles, des anciennes membres de son équipe dénoncent une grande dissonance entre la communication autour du « care » et la réalité subie au quotidien. Cinq ans après le départ houleux du précédent directeur, cette énième crise vient aussi mettre le doigt sur les problèmes structurels de ce centre d’art.

  • Quels enfants allons-nous laisser à nos journaux ?

    «  La question n’est pas : quel monde laisserons-nous aux enfants de demain ? mais plutôt : quels enfants laisserons-nous à ce monde-là ? » C’était Jaime Semprun qui s’interrogeait il y a quelques années. Aujourd’hui, les adultes s’inquiètent des jeunes « qui passent leur temps derrière les écrans  ». Mais oublient de questionner leurs responsabilités dans l’avilissement numérique généralisé.

  • La fabrique du consentement à la grenobloise

    Depuis un an, on subit les décisions de restriction de libertés d’un pouvoir autoritaire, qui contraint les allées et venues de chacun sans même prendre la peine d’en débattre au Parlement. Heureusement, la municipalité grenobloise a été une fois de plus pionnière en lançant son « comité de liaison citoyen » sur le Covid-19 afin de faire vivre la « démocratie sanitaire ». À quoi ça sert ? Une vidéo nous apprend qu’il s’agit bien plus de fabrique du consentement que de démocratie.