Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Thierry la Fronde

    Dans le numéro 53 (décembre 2019), nous mettions en jeu un abonnement de deux ans au Postillon pour la personne qui parviendrait à shooter au lance-pierres le drone qui effectue les livraisons de La Poste entre le Fontanil et Mont-Saint-Martin. Avant l’été, on apprenait que le drone avait disparu et que « l’acte de malveillance n’était pas exclu » (France 3, 04/06/2020). Depuis, personne n’est venu réclamer le lot. Quelle humilité, quel désintéressement ! Ça donne encore plus envie de (…)

  • Les primaires d’EELV

    L’année 2020 a été riche en scénarios improbables, la double ration de confinement, la réélection de Ferrari à la tête de la Métropole, l’avant-dernière étape du Tour de France, le battle entre Didier Raoult et Olivier Véran, les mystères profonds du succès d’Aya Nakamura. Mais on n’est a priori pas au bout de nos surprises et un des plus grands moments de poilade du 21e siècle devrait bientôt avoir lieu : les primaires de EELV pour désigner le candidat du parti à la présidentielle de 2022. (…)

  • Courrier des lecteurs

    « Je lis souvent votre journal et ça me fait plaisir d’avoir une source d’information qui n’a pas peur de mettre le doigt là où ça fait mal. Si je vous écris aujourd’hui c’est parce que malgré le commentaire que je ferai par rapport à un de vos derniers articles, j’aimerais garder la confiance dans l’esprit critique et la justesse de vos propos afin de continuer à lire votre journal avec la même tranquillité d’esprit qu’avant. Et aussi parce que je suis en général d’accord avec vous sur les (…)

  • De l’agent orange a été fabriqué à Pont-de-Claix

    Connaissez-vous « l’agent orange » ? Selon Wikipédia, « l’agent orange est le surnom donné à l’un des herbicides arc-en-ciel, plus précisément le défoliant le plus employé par l’armée des États-Unis lors de la guerre du Vietnam entre 1961 et octobre 1971. Le produit était répandu principalement par avion au-dessus des forêts vietnamiennes ou sur des cultures vivrières. L’agent orange est responsable de plusieurs maladies chez les militaires assurant sa dispersion mais surtout chez les civils (…)

  • La trottinette électrique, un gadget pas bio

    Une tombola de « Noël avant l’heure » promet en gros lot une trottinette électrique. Youpi ! La tombola est organisée par quatre magasins bio du quartier St-Bruno, tous situés dans le fameux « cluster bio » de l’angle des rues Nicolas Chorier et Abbé Grégoire : Casabio, le Pain des cairns, la boucherie L’art des terroirs et la Fromagerie de Caroline. Le bio, cette méthode de culture tournée à l’origine vers le lien à la terre et le refus des pesticides et engrais de synthèse, est peu à peu (…)

  • Maintenir les Jeunes dans les Commerces

    Dans les banlieues communistes, si les centres commerciaux s’agrandissent (voir cet article), les structures sociales réduisent la voilure. À Échirolles, la maison des habitants Surieux a été « transférée » dans le quartier des Essarts, enlevant un service de plus à une place Beaumarchais qui a vu la plupart de ses commerces fermer ces dernières années. À Saint-Martin-d’Hères, c’est la MJC Bulles d’Hères, dernière maison des jeunes et de la culture de la commune, qui est menacée de (…)

  • Le Linky pour déceler les fêtes clandestines

    Dans Le Daubé (10/11/2020), on apprend que « le virus est le meilleur allié de Linky. (…) Le compteur intelligent est moins controversé depuis la Covid-19 car il favorise les opérations à distance. (…) Enedis et ses sous-traitants mettent les bouchées doubles pour passer à 100 % de compteurs Linky l’an prochain. (…) Le compteur Linky, qui favorise les gestes barrière et la distanciation physique, n’a jamais été aussi bien perçu. » Un article qui ressemble fort à du publi-reportage, en (…)

  • Que fleurissent mille Buisserate

    C’est comme on avait dit : à l’intérieur de Sylvain Laval, nouveau maire de St-Martin-le-Vinoux, il n’y avait rien (voir Le Postillon n°48, 54 et 57). Maintenant y a-t-il au moins la honte ? Au premier jour du second confinement, le terrassement des jardins de la Buisserate a commencé au petit matin. Ces terres agricoles préservées au milieu d’un quartier populaire étaient défendues depuis deux ans par un collectif d’habitants et de militants écologistes de l’agglomération. Des opposants (…)

  • Ne télétravaillez jamais

    Dans son discours du 28 octobre annonçant le reconfinement, Macron demande aux entreprises de recourir au télétravail pour limiter la propagation du covid. Depuis, le gouvernement préconise jusqu’à 100 % du temps de travail à distance pour les métiers qui le permettent. La plupart du temps, les syndicats sont une courroie de transmission de cette directive et s’insurgent contre les directions qui ne le mettent pas assez vite en place. Trop focalisés, par réflexe, à déceler les défaillances des patrons dans leur obligation de limitation des risques, les syndicats risquent surtout de pousser l’organisation du travail vers un point de non-retour de l’éclatement des collectifs de travail.
    Certains syndicalistes voient dans le télétravail un piège tendu aux travailleurs. L’un d’eux nous a envoyé une tribune. Peu importe sa boîte, peu importe son organisation syndicale, l’alarme qu’il rédige ici peut résonner dans toutes les entreprises.

  • Retour de maton

    À la suite de l’article Varces attaque dans notre précédent numéro, la cheffe d’établissement du centre pénitentiaire Grenoble-Varces, Valérie Mousseef, nous a envoyé un droit de réponse afin de « proposer une véritable transparence à [notre] lectorat  ». Voici quelques extraits commentés de cette lettre dans laquelle elle s’efforce de défendre son administration.