Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Les Républicains sont à la rue

    Pour les Républicains de l’Isère, les champignons hallucinogènes c’est toute l’année. Au mois de Juin 2014, les grilles du Jardin de ville ont accueilli une exposition itinérante « la rue, c’est l’histoire de chacun ». On y voit des photos de jeunes dormant dans les rues de Grenoble raconter leurs histoires de vie compliquées. Pour le site des Républicains de l’Isère, cette exposition est une « provocation » de la mairie de Grenoble : certains riverains et commerçants de la place Grenette se plaignent en effet depuis quelques mois de la présence de jeunes SDF.

  • Horrible : des piscines et des barbecues dans la rue !

    La canicule de cet été a entraîné de véritables actes d’incivilités dans les quartiers grenoblois : des bouches d’incendies ont été ouvertes pour servir de douches improvisées, et des piscines sauvages ont même été installées. Un scandale. Celle qui a le mieux exprimé son indignation est une « riveraine de la rue Denis Papin à Echirolles qui a appelé Le Dauphiné Libéré (7/7/2015) pour signaler qu’une telle piscine avait été installée sauvagement en bas de chez elle, à quelques arrêts de tram seulement du stade nautique de la commune.

  • François Brottes : enfin un élu isérois qui réussit

    Je sais pas vous, mais nous on commençait à avoir un peu honte de nos grands élus grenoblois socialistes, qui bien souvent n’arrivent pas à s’imposer au niveau national. Regardez nos deux sous-ministres : Fioraso a été obligée de démissionner et se retrouve à donner des Légions d’honneur à (presque) tout le monde pour occuper ses journées. Vallini ne parvient que peu à faire parler de lui, de ses costumes, ni même de ses lunettes malgré la prétendue importance de « sa » réforme territoriale.

  • Les bienfaits du Piollisme : une colère pour tous 

    Il y a quelque chose à mettre au crédit de la bande à Piolle : depuis un an et demi, on s’emmerde un peu moins à Grenoble. Avant, sous l’ère Destot, les rares débats publics étaient généralement plats, sans esclandres ni coups d’éclats. Non que sa politique suscitât un grand enthousiasme - les résultats des dernières élections l’ont montré - mais parce qu’elle provoquait généralement ennui et désintérêt. L’arrivée de Piolle a réveillé quelques ardeurs – et les mêmes qui pouvaient sans broncher laisser faire Destot sur tel point, montent maintenant au créneau pour démonter Piolle quand il fait la même chose.

  • Un courrier capillo-tracté

    « Nous vous rappelons que la distribution de tracts, flyers, prospectus, etc. sur la voie publique est soumise au Règlement général de voirie de la ville de Grenoble. Par conséquent, à proximité de la gare, la distribution de tracts est interdite les mercredis, vendredis, samedis et veilles de fête, de même que de 7h00 à 9h30, de 11h30 à 14h30 et de 16H00 à 19h30 les lundis, mardis et jeudis ». Cet extrait est issu d’un courrier hallucinant de Gilles Larnaud, « chef de service » à la direction environnement de la Ville de Grenoble.

  • Edito

    Cessez immédiatement d’acheter ce journal : vous risqueriez d’être bientôt accusé de collaboration. Un conseiller municipal de Grenoble nous a accusé devant plusieurs dizaines de personnes d’être « un média d’extrême droite ». Par cette sortie tout en finesse lors d’un séminaire d’élus sur le plateau « résistant » du Vercors le 18 avril dernier, l’élu EELV Pierre Meriaux voulait dénoncer notre dernier numéro, très critique envers une de ses collègues, l’adjointe à la culture Corinne Bernard.

  • Allez vous faire connecter !

    Pour ce quatrième épisode du feuilleton autour de la ville intelligente (les trois premiers étaient dans les n°24, 25, et 26), Le Postillon écrit une lettre à Loïc Lecerf, PDG de la start-up Smart me up, spécialisée dans « l’analyse faciale en temps réel » et basée à Meylan.

  • Stendhal réparera-t-il le tunnel du Chambon ?

    Aussitôt élu, le nouveau président du Conseil général, Jean-Pierre Barbier, a lancé un appel aux collectivités pour initier des chantiers et donner de l’argent au BTP. La montagne a répondu promptement : quelques jours après, le 10 avril, la menace d’effondrement du tunnel du Chambon a obligé les autorités à couper la route entre Grenoble et Briançon pour une durée indéterminée et à lancer un grand chantier. Le pseudo-sportif du Postillon a profité de l’occasion pour aller rencontrer les habitants désemparés, les « professionnels du tourisme » énervés et les montagnards alcooliques.

  • Burn-out à la Chaufferie

    L’annonce de la suppression de la subvention de la Drac pour la régie 2C a fait beaucoup jaser à Grenoble, tout le monde y voyant un nouveau syndrome de l’austérité culturelle. Ce qui se sait moins, c’est que tout ne tourne pas rond à la Chaufferie, une des deux salles de cette régie : il n’y a presque plus aucune activité dans cet équipement, censé faire vivre la culture dans le quartier Jouhaux.

  • Unanimité obligatoire

    Il y a quelque chose de pourri au royaume de Piolle. à l’arrivée au pouvoir municipal grenoblois de l’alliance verte & rouge, on croyait qu’on allait devoir se renouveler dans la critique. Que face à une équipe municipale « innovante », représentative de « l’autre gauche », on allait être obligés de se creuser le ciboulot pour effectuer un travail intéressant de journalisme critique. Et en fait la plupart du temps, on n’a pas besoin de trop se fouler. Car beaucoup de choses se déroulent comme auparavant.

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