Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Un procès mieux que le nôtre

    Il faut bien se l’avouer, on est jaloux ! Avec notre procès pour « injure » et « diffamation » de la part du président de la Métropole, on pensait avoir dégoté une inculpation des plus intéressantes. Mais on s’est fait doubler : nos confrères du journal lillois La Brique vont avoir un procès pour « vente à la criée ». En février 2015, alors que toute la France était « Charlie », et qu’ils vendaient tranquillement leur canard sur le marché de Wazemmes, la maréchaussée leur a collé une prune. (…)

  • Des drones pour les Roms ?

    Depuis début juillet, environ vingt-cinq personnes roms vivent sur un terrain vague à Bouchayer-Viallet, entre la Belle électrique et la rocade. Suite à leur installation, la SEM Innovia (société d’économie mixte détenue majoritairement par la ville de Grenoble), propriétaire du terrain, a fait creuser des grosses tranchées autour des cabanes afin d’éviter une extension du camp. Mais les pouvoirs publics semblent également prêts, quant à eux, à user d’autres méthodes pour « gérer » ces (…)

  • Ferrari se reconvertit en publicitaire

    Souffrant d’un déficit de notoriété, le président de la métropole est sur tous les fronts pour se faire connaître de ses administrés. Après avoir intenté un procès au Postillon, voilà que Christophe Ferrari se met à la publicité. Dans une vidéo de deux minutes sur Dailymotion (1), le « Con-de-Plaix » dresse les louanges de SFR-Numéricable en répétant trois fois le nom de l’opérateur et des phrases louangeuses comme : « ça a été pour moi très important d’aménager le territoire et ma commune (…)

  • Baisse des dotations de l’Etat : les élus obligés de faire la quête dans les manifs.

    Ici, Jean-Paul Trovero, maire de Fontaine

  • l’arnaque de la transition "connectée"

    Cette vidéo publicitaire se finit par une promesse ferrarienne : "je compte beaucoup faire de la métropole grenobloise à la fois la métropole de la transition énergétique et à la fois la métropole qui est la plus connectée". En une phrase, le "Con-de-Plaix" résume toutes les contradictions des adeptes-gaga de la "transition énergétique" : ils se targuent de vouloir aller vers la "sobriété" en économisant l’énergie, et dans le même temps, ils veulent sans cesse rajouter de nouvelles sources (…)

  • La fin du train dans le Trièves ?

    Le progrès, c’est de remplacer le train par des lignes de car. Une des prochaines voies de chemin de fer qui devrait disparaître, c’est la ligne des Alpes, reliant Grenoble et Gap. Selon une récente lettre de Sud Rail : "dans les cinq années à venir, la ligne des Alpes verra partir à la retraite un tiers de son effectif. à ce jour, un poste reste vacant à Lus-la-Croix-Haute et aucune arrivée n’est prévue pour y remédier. (...) L’inquiétude vient de la région par le biais de M. Mignola, (…)

  • Avec le fan-club de Carignon

    À Grenoble, la gauche a quand même bien de la chance : cela fait quinze ans qu’elle peut compter sur Alain Carignon pour favoriser ses succès électoraux. Depuis sa condamnation à vingt-neuf mois de prison dans les années 1990, le simple nom de l’ancien maire de Grenoble (de 1983 à 1995) crée de telles divisions dans la droite grenobloise qu’elle est incapable d’espérer reprendre le pouvoir municipal. Après de multiples tentatives de retour ratées, Carignon est repassé à l’offensive depuis mars dernier. Il a créé un « comité de ville des Républicains 38 », censé « faire entendre la voix des Républicains dans le débat municipal et contribuer à l’élaboration d’un projet alternatif ». Fin mai, il organisait une réunion publique qu’un stagiaire du Postillon est allé couvrir. Après avoir enchaîné sur un tractage, il révèle – pour vous lecteurs - certains détails de la vie interne de ce groupuscule radicalisé.

  • Fermer des bibliothèques, sauver le high-tech ?

    L’annonce a fait grand bruit : pour essayer de faire 14 millions d’euros d’économies dans les prochaines années, la mairie de Grenoble va sabrer dans ses dépenses sociales, en rognant sur les dépenses de santé scolaire et en fermant trois bibliothèques. Au total, les gestionnaires verts & rouges veulent supprimer cent postes d’ici 2018. Derrière l’avalanche des réactions indignées de la part des oppositions, cette politique d’austérité révèle des grands choix de société : préfère-t-on donner de l’argent au high-tech ou aux bibliothèques ?

  • Tout sur les poils

    Selon la définition donnée par Wikipedia, le poil est « une production filiforme de l’épiderme, couvrant partiellement ou intégralement la peau des mammifères et dont il est l’une des caractéristiques ». Chez l’Homme comme chez l’animal, il se décline sous toutes les formes : dru ou frisé, court ou long, brun ou blond... Nul n’y échappe : homme ou femme, « gorille » ou imberbe, sosie de Demis Roussos ou de Justin Bieber, chaque être humain possède en moyenne près de 5 millions de poils sur le corps. Une chose est sûre, à l’approche de l’été, le poil sera comme toujours l’objet de toutes les attentions : sublimé ou taillé chez le barbier, coupé ou raccourci dans un salon de toilettage pour animaux, épilé ou rasé chez l’esthéticienne. Pour y voir plus clair, nous avons poussé la porte de ces professionnels du poil, d’apparence si dissemblables et pourtant unis par un dénominateur commun.

  • Le Trièves se prend un vent

    Dans l’entre-deux guerres, le Trièves découvrait les charmes de l’électricité et Jean Giono venait y passer ses vacances. Presque un siècle plus tard, alors que la boulimie énergétique ne fait qu’enfler, Le Postillon envoie un de ses reporters dans ce charmant territoire du Sud-Isère pour enquêter sur un projet de grandes éoliennes. Citations de Giono, prises de position des « pour » et « contre », réflexions rafraîchissantes : voilà un nouveau reportage baroque.