Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Le plutonium comme patrimoine

    Aux Journées du patrimoine, il y a des monuments qui cherchent encore leur public. Si on se bouscule aux portes de la Préfecture de Grenoble ou des musées de la Résistance et des chasseurs alpins, on se presse un peu moins – faut-il vraiment s’en étonner ? – devant celles de la centrale nucléaire de Creys-Malville, alias Superphénix, à quatre-vingt kilomètres au nord de Grenoble. En cours de démantèlement, cette « cathédrale du XXème siècle » est aussi en voie d’habile muséification et ce malgré le caractère aussi bref que raté de son histoire. Le Postillon s’est offert une petite visite guidée.

  • Si les politiques grenoblois... étaient un lieu de la cuvette

    Michel Destot : la tour Perret.
    Toute moche, la tour Perret se voit de loin et reste un symbole de la ville. On se demande si elle va s’écrouler parce que bon elle gâche le paysage. Destot, c’est pareil, on a l’impression d’en être débarrassé mais il est encore député de la ville, rapporteur du projet Lyon-Turin à l’assemblée nationale et il a écrit un bouquin. Où c’est qu’j’ai mis ma pelleteuse ?

  • Lettre anonyme municipale

    Au milieu de l’été, nous avons reçu une lettre anonyme contenant entre autres une copie du « relevé de décisions du 20 juillet 2015 du groupe du rassemblement citoyen, de la gauche et des écologistes ». Eh oui, vous avez bien lu « une vraie lettre anonyme » avec son enveloppe papier, son timbre, son adresse écrite en majuscules de la main gauche…

  • « Ramassis de petits bourges arrogants donneurs de leçon » : toi-même

    Cette même lettre anonyme nous a permis de découvrir avec joie la prose d’Alan Confesson à notre égard. Ce monsieur de 27 ans est depuis mars 2014 conseiller municipal et conseiller communautaire, c’est-à-dire une grande « personnalité politique », comme il se présente sur son compte Facebook. Ce qui est sûr, c’est que ce membre du Parti de Gauche est en colère, comme il a tenu à le faire savoir par mail à ses collègues élus.

  • Courrier des lecteurs

    « Habitante de Grenoble, je feuillette encore Gre.mag, le magazine de la ville de Grenoble, lorsqu’il arrive dans ma boîte aux lettres. Ce mois-ci, j’ai dû le recevoir le 21 ou le 22 septembre. C’est pourquoi j’ai été surprise de découvrir la présentation des projets sélectionnés dans le cadre du budget participatif et les modalités d’action pour aller voter lors du week-end ... passé... du 17/18 septembre. Dommage non ?

  • Pas de portable, pas de Semitag

    Un objet mis en avant par les autorités peut raconter beaucoup de choses. À Béziers, le maire d’extrême-droite a fait afficher des gros flingues dans des sucettes Decaux pour annoncer que sa police municipale était armée. A Grenoble, le SMTC (syndicat mixte des transports en commun) vient d’afficher des gros téléphones portables sur ses trams ou arrêts de bus pour annoncer qu’on pouvait maintenant payer avec son smartphone.

  • Le téléphérique urbanisateur

    Connaissez-vous beaucoup de personnes qui fassent régulièrement le trajet de Fontaine à Saint-Martin-le-Vinoux ? Il doit bien y en avoir quelques-unes mais pas bézef. C’est pourtant ce parcours qui a été retenu pour construire le « premier téléphérique urbain » de grande envergure.

  • Le lobbying du téléphérique grassement subventionné

    Il faut voir dans ce projet de téléphérique Fontaine-Saint-Martin-le-Vinoux le résultat d’un intense lobbying. Cela fait des années que les industriels du câble – en premier lieu l’entreprise iséroise Poma, qui bétonne la montagne un peu partout dans le monde – font pression pour développer des téléphériques urbains, afin d’augmenter leurs chiffres d’affaires.

  • Toujours plus con : « la nature connectée » !

    Grenoble étant une ville de montagne et de nouvelles technologies, il fallait bien que des nigauds cherchent à gagner de l’argent en liant les deux. Qu’ils suivent l’air du temps pour développer la « montagne 2.0 ». Le magazine publicitaire Spot (mai 2015) nous avait prévenu dès ce printemps : « Rando2.0 : la technologie s’invite sur nos sentiers. Les randonneurs veulent rester connectés : comment répondre à cette attente ? »

  • Les managers deviendront-ils décroissants ?

    « À cause du numérique, les jeunes souffrent d’un manque d’intégration et d’échange au sein de l’entreprise (…) ; ils passent de 70 à 90 % de leur temps de travail derrière l’ordinateur ; ils ne se déplacent pas dans l’entreprise car ‘‘il faut envoyer un mail avant’’ (...) ; le numérique accentue la surcharge de travail et informationnelle, facilite de très grandes amplitudes horaires de travail, induit une peur de l’automatisation et d’être remplaçable ». Ces paroles n’ont pas été prononcées à une quelconque conférence décroissante ou rencontre de néo-luddites, mais lors des « jeudis de l’entreprise » le 10 septembre dernier, à Grenoble école de management.

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