Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Des services civiques à la rescousse du Linky ?

    On a raconté dans le n°35 comment ERDF rencontrait des résistances pour imposer le compteur Linky aux habitants de Fontaine, Echirolles, Saint-Martin-d’Hères et Pont-de-Claix. Cette pauvre petite entreprise galère tellement qu’elle compte maintenant sur des jeunes volontaires en service civique pour lui faciliter la tâche. Le ministère de l’écologie a lancé dernièrement des missions de service civique intitulées « Volontaires de la transition énergétique – sensibiliser les habitants aux (…)

  • Pour des transports en commun aux ordres des patrons ?

    On a déjà parlé de Jean Sivardière, l’ancien président de l’ADTC (association pour le développement des transports en commun) en raillant son amour pour le projet dévastateur du TGV Lyon-Turin et sa haine des salariés de la SNCF pas suffisamment « productifs » (voir Le Postillon n°21 et 31). Il n’est visiblement pas le seul au sein de l’ADTC à avoir une vision très libérale du militantisme pour les transports en commun. Dans l’ADTC infos n°148 (juin 2016), on trouve un article pro-Lyon-Turin (…)

  • Confession en pleine lutte des places

    Toujours prompt à s’afficher en « résistant » face à l’extrême droite et à tous les méchants, le jeune conseiller municipal Alan Confesson a, par contre, des fois peur du peuple. Pendant les séances du conseil municipal de Grenoble, il était auparavant placé juste à côté du public. Aussitôt après l’annonce du plan de « sauvegarde » de la mairie de Grenoble et en prévision de futurs conseils municipaux agités, Confesson a fait une demande à ses collègues élus : ce membre du parti de gauche (…)

  • Le recrutement augmenté

    Samantha (pseudo) a récemment postulé pour bosser dans un centre d’hébergement de personnes précaires et/ou migrantes. Suite à un premier entretien avec la directrice, il lui a été demandé de faire un « test d’évaluation des compétences comportementales en milieu professionnel ». Une série de 70 questions auxquelles répondre toute seule derrière son ordinateur « sans réfléchir ». Commercialisé par l’entreprise PerformanSe (une notion tellement importante dans le travail social !), ce test (…)

  • Pourquoi le plan de sauvegarde est une « connerie »

    Une personne nous a transmis un échange de mails entre élus du Parti de gauche à la ville de Grenoble. On n’aime pas spécialement dévoiler des conversations privées, d’ailleurs on ne publie pas tout ce que l’on reçoit. Mais cet échange de mails est particulièrement instructif, notamment sur le « plan de sauvegarde » de la municipalité. Où l’on apprend que le co-secrétaire du Parti de gauche Alain Dontaine trouve ce plan « lamentable » et « d’une bêtise rare », que certains élus sont obligés (…)

  • Grenoble sera-t-elle insoumise ?

    Peut-on être « insoumis » une fois arrivé au pouvoir ? Les militants de Mélenchon s’agitent pour la présidentielle avec un slogan phare : « La France insoumise ». À Grenoble, nombre de militants du Parti de gauche regrettent la soumission de leurs élus aux politiques d’austérité. Suite à la présentation du plan de sauvegarde, les co-secrétaires départementaux ont sorti un communiqué pour demander un moratoire et une consultation. Une demande qui pourrait paraître évidente, mais qui n’a pas (…)

  • La propagande apaisée

    Il n’y a pas qu’au Parti de gauche qu’il y a des déçus de la politique municipale. Ce printemps, l’ancien président du Réseau citoyen, une des composantes de la municipalité, a démissionné de son poste. Où l’on voit que la majorité a un penchant prononcé pour la propagande, et quelques difficultés dans le débat interne.
    Week-end de fin août, sur le marché de l’Estacade : trois personnes font signer une pétition contre une décision de la mairie. Des socialistes revanchards ? Des (…)

  • Libérons les données !

    A Grenoble, il y a une adjointe à la libération des données et à l’accès à l’information. Et pourtant, qu’il est difficile, par exemple, d’avoir les chiffres concernant le « plan de sauvegarde » de la municipalité. Combien ça permet d’économiser une bibliothèque fermée ? Quelles autres mesures aurait-on pu mettre en place ? Mystère..... En divulguant quelques données internes, Le Postillon espère lancer un mouvement de libération des données.

  • Fonte des budgets à Fontaine

    Comme toute la gauche de gauche, les communistes sont censés être contre l’austérité. À Grenoble, ils se sont d’ailleurs insurgés contre le « plan de sauvegarde » présenté par Piolle. Mais au pouvoir, les grandes envolées lyriques sonnent souvent un peu faux. À l’heure de la baisse des dotations de l’état, comment gère-t-on les restrictions budgétaires dans la banlieue rouge ? Reportage à Fontaine où syndicalistes et agents sont de plus en plus remontés contre la politique menée par le maire Trovero.

  • Requiem pour une bibliothèque

    Engagement n°110 de Piolle : « Maintenir et soutenir le réseau des quatorze bibliothèques municipales ». Deux ans plus tard, le « plan de sauvegarde » des services publics prévoit la fermeture de trois bibliothèques : deux sont déjà effectives et celle de la bibliothèque Alliance est prévue pour 2017. Un lieu de vie en moins pour les habitants des quartiers Alliés et Alpins. Reportage au cœur du secteur 4, à la rencontre d’habitants qui refusent de voir leur quartier transformé en désert culturel et social.