Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Gattaz et modèle grenoblois, même combat !

    Le 2 juin dernier, une centaines de militants contre la loi Travail ont bloqué Radiall, l’usine du patron du Medef à Voreppe. En plus de permettre aux salariés – pour la plupart ravis – de ne pas aller bosser pendant une matinée, cette action a mis le projecteur sur les pratiques économiques de Gattaz.

  • Une passion soudaine des apparatchiks du PS pour la CFDT

    Pour soutenir le gouvernement, et donc espérer plus tard obtenir des places, les apparatchiks du PS local sont prêts à tout. Et même à se découvrir une soudaine passion pour le syndicalisme, en venant gonfler les rangs de la très sage CFDT, lobby officiel de la controversée loi Travail.

  • Au CEA, bientôt des « corps allongés dans le couloir » ?

    La confiance règne au CEA (Commissariat à l’énergie atomique). Depuis plusieurs mois, de nombreux salariés s’inquiètent de l’installation dans les locaux de l’Inac (Institut des nanosciences et de cryogénie – un institut de recherche commun au CEA et à l’université de Grenoble) d’une start-up dénommée Enwires.

  • Non coupée et très addictive

    Ils en deviennent tous accrocs. Petit à petit, les élus et promoteurs des stations de ski développent une pratique addictive envers une substance blanche dénommée « neige synthétique ». Le nouvel exécutif régional veut les pousser dans cette dépendance : le leader tout-puissant Laurent Wauquiez est venu dans le Vercors pour annoncer le lancement d’un « Plan Neige ». Alors qu’il coupe les vivres financiers à nombre d’associations du secteur social et culturel, il a immédiatement débloqué dix millions d’euros pour le développement de cette neige artificielle, en espérant que les investissements atteignent deux cents millions d’euros au final.

  • La « montagne augmentée » pour des sommets de connerie toujours plus élevés

    Selon notre enquête, le principal lieu de deal de cette poudre blanche est le salon d’aménagement de la montagne ayant lieu tous les deux ans à Alpexpo. Pour l’élu rouge & vert grenoblois Claus Habfast, ce salon est une « pépite ». Celui qui est également président d’Alpexpo enchaîne : « Nous avons la volonté d’imposer Mountain Planet comme le rendez-vous mondial du business en aménagement de la montagne » (Le Daubé, 16/04/2016). Et donc de vendre toujours plus de canons, de ratracks, de dameuses et autres équipements écologiques.

  • Comment aider Le Postillon ?

    Depuis l’annonce de notre baptême judiciaire (le 29 juin à 12h devant le Tribunal de grande instance), vous vous demandez comment nous aider. Des propositions audacieuses et innovantes affluent.

  • Enfin un procès !

    Nous invitons le tout-Grenoble à un « vernissage judiciaire » à l’occasion de notre premier procès. Ça se passe le mercredi 29 juin, entre midi et 13h30, devant le palais de Justice. Il y aura des nappes blanches, du vin d’honneur et des petits fours. Venez comme vous êtes !
    C’est avec une émotion non dissimulée que toute l’équipe du Postillon a la joie de vous faire part de l’arrivée de son premier procès. Il a deux petits noms « Injure » et « Diffamation », et la paternité est à aller rechercher du côté de Christophe Ferrari, maire de Pont-de-Claix et président de la Métropole de Grenoble, et de sa directrice de cabinet Yveline Denat.
    Un premier procès est une étape très importante dans le développement d’un petit journal local indépendant. Chacun sait que cela permet de faire un maximum de publicité, d’augmenter les ventes et de prouver son utilité. Cependant, la recherche du procès est un art très délicat : il ne faut pas se faire poursuivre par une personne insignifiante (un procès contre un responsable d’union de quartier ou un obscur conseiller municipal est ainsi à éviter), ni pour des attaques trop bêtes (se faire poursuivre pour avoir écrit « le maire est une sous-merde crapuleuse crypto-fasciste » est également à proscrire). Cela fait six ans et demi que Le Postillon cherchait à tâtons un procès intéressant : ce procès contre le président de la Métropole est donc une consécration.

  • Dans la cuvette Debout

    Depuis que Le Postillon existe (sept ans déjà, l’âge de raison), la contestation sociale est en panne. Hormis le « mouvement des retraites » de 2010, qui a échoué, il n’y a pas eu d’effervescence contestataire dans les rues de Grenoble, pas de grandes manifestations, pas d’élan. C’est un grand manque pour notre journal. Pas d’un point de vue politique, non on s’en fout de ça. Les manifs nous manquent uniquement pour des raisons commerciales. Ce sont les meilleurs moments pour vendre notre produit, ceux qui nous permettent d’engranger le plus de cash flow dans le money time. Et ça s’est encore vérifié lors des manifestations contre la loi Travail des 9 et 31 mars derniers, où on a pu fracasser tous nos records de ventes de numéros à l’heure en atteignant le nombre de 85 (le précédent record, 77 seulement, datait de la manif « je suis Charlie »), soit un toutes les 42 secondes. Alors notre directeur des ventes s’est emballé : « C’est bien les petits, on va pouvoir revoir à la hausse les objectifs annuels. Le problème, c’est que tout ça risque de s’arrêter. Hey les journaleux, vous voudriez pas un peu causer de ce mouvement, comprendre comment ça marche, quelles en sont les limites ? Ça pourra peut-être nous servir pour la suite, pour anticiper les futurs pics de vente. » Bien, chef. Les deux journaleux du Postillon ont donc fouiné autour des manifestations du mois de mars et en rapportent un récit chronologique chaotique.

  • Linky êtes-vous ?

    À en croire ses promoteurs, le nouveau compteur électrique « intelligent » Linky possède de nombreux avantages pour les particuliers. Il permettra par exemple à tout un chacun, et à ERDF ou la police, de tout savoir sur sa consommation électrique. Et pourtant, dans la cuvette grenobloise comme ailleurs, de plus en plus d’habitants tentent de résister à la pose de ce compteur qui a débuté depuis décembre dernier. Le Postillon est parti à leur rencontre.

  • Linky profite le crime ?

    ERDF, le promoteur du Linky, est une institution. Comme il se doit, elle est respectée par toutes les autres institutions. Si le Linky est de plus en plus critiqué et rejeté par de simples habitants de la cuvette, ERDF sait pouvoir compter sur le soutien des élus locaux et de la presse locale.

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