Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Requiem pour une bibliothèque

    Engagement n°110 de Piolle : « Maintenir et soutenir le réseau des quatorze bibliothèques municipales ». Deux ans plus tard, le « plan de sauvegarde » des services publics prévoit la fermeture de trois bibliothèques : deux sont déjà effectives et celle de la bibliothèque Alliance est prévue pour 2017. Un lieu de vie en moins pour les habitants des quartiers Alliés et Alpins. Reportage au cœur du secteur 4, à la rencontre d’habitants qui refusent de voir leur quartier transformé en désert culturel et social.

  • Ecopla de résistance

    On en a beaucoup entendu parler ces derniers temps, et même dans des médias nationaux. Dans la vallée du Grésivaudan se joue une histoire tristement banale : une usine rachetée par un riche étranger, des intérêts financiers qui conduisent à la fermeture, 77 employés sur le carreau... Mais depuis six mois, certains d’entre eux se battent pour reprendre cette activité en société coopérative (Scop). Cette usine, elle s’appelle Ecopla, et fabrique depuis une cinquantaine d’années des barquettes en aluminium pour l’agroalimentaire (Brossard, Marie, Brioche Dorée…). Ça vous fait une belle jambe ? Une pigiste du Postillon s’est faufilée parmi les salariés ces derniers mois et leur donne la parole.

  • Baignades volées

    Nous allons revenir sur l’événement journalistique de cet été 2016 : dans son numéro du mardi 23 août, un article paraissait dans Le Daubé pour raconter le bon temps d’avant, où l’on pouvait se baigner dans le Furon, la rivière à côté des cuves de Sassenage. Avec les quelques photos en noir & blanc d’usage, et les petits « souvenirs » d’antan, Le Daubé ne manque pas de rappeler que la baignade est aujourd’hui « strictement interdite pour des raisons de sécurité ».

  • La CIA a-t-elle coulé le Quick ?

    Le complotisme est aujourd’hui omniprésent sur internet. Dans la vraie vie grenobloise, il y a Julien (pseudo), qui dit être suivi et torturé à distance par l’OTAN. Il tient à faire connaître sa souffrance quotidienne par tous les moyens possibles. Par mail (que je reçois régulièrement), sur de larges panneaux lors des manifs contre la loi travail. Ou sur sa voiture, recouverte d’autocollants. Que se passe-t-il dans sa tête ?

  • Comboire le calice jusqu’à la lie

    Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour passer de bonnes vacances. Deux reporters du Postillon se sont complètement dépaysés en allant passer 24 heures dans le plus grand centre commercial de l’agglomération grenobloise, l’Espace Comboire.

  • Pour une réserve naturelle de crétins des Alpes

    Le Postillon propose aux promoteurs du parc de Belledonne de créer la première réserve naturelle mondiale de crétins des Alpes.(...) Si une telle expérience aboutit, on imagine aisément le nombre d’articles dans la presse internationale et les retombées économiques !

  • Le département subventionne Apple

    Depuis plusieurs années, toute l’ambition des classes dirigeantes à propos des jeunes et de l’éducation consiste à les abreuver de gadgets technologiques. Et les élites de répéter ad nauseam que « le numérique améliore l’éducation », en essayant de faire croire que la présence accrue d’écrans pouvait faciliter la concentration et l’apprentissage (1). Alors que l’argent public manque de partout (hôpitaux, culture, associations, etc), il coule toujours à flots pour subventionner les grandes entreprises (...)

  • Galerie de l’Arlequin : détruire, disent-ils

    Au Postillon, on ne comprend pas trop : cela fait des années que la Tour Perret se casse la gueule et qu’on ne la fait pas tomber. Mais par contre, les autorités mettent beaucoup d’argent public pour démolir des bâtiments en parfait état. Les « plans de sauvegarde » se multiplient dans Grenoble. Après celui des services publics, voilà venu celui de la galerie de l’Arlequin. Et là aussi, en guise de « sauvegarde », il s’agit avant tout de détruire. Après avoir dépensé des millions d’euros pour raser le 50, (...)

  • La police grenobloise passe aux aveux

    Dimanche 3 Juillet. La France a battu l’Islande en quart de finale de l’Euro de football. Émotion, drapeau tricolore : le cours Jean Jaures est rapidement envahi par des centaines de supporters. Sous les sifflets, les coups de klaxon et les chants, des jeunes s’en prennent, hilares, à des automobilistes qui tentent vainement de circuler sur le cours. Coups de pied dans les portières, jets de pétard à travers les fenêtres, concours de saut sur les capots... les voitures sont secouées de droite à (...)

  • Logistique urbaine : le bordel des sous-traitants

    La métropole de Grenoble vient de créer un centre de distribution urbaine à Noyarey. Son but est de mutualiser les transports de marchandises dans l’agglomération grenobloise dans des véhicules supposés être « propres » (c’est-à-dire n’utilisant pas de pétrole mais du gaz ou de l’électricité...), afin d’éviter que de gros camions roulent dans la ville pour livrer un seul colis. La métropole vient de confier la gestion de ce centre à... La Poste, qui pilote un consortium appelé Evol (regroupant d’autres boîtes (...)

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