Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • L’austérité de gauche, d’abord pour les plus pauvres

    La mairie « Union de la gauche » d’Échirolles (à dominante PCF) a décidé de supprimer brutalement le poste d’écrivain public, en ne renouvelant pas son énième CDD.

  • Les pylônes vont-ils pousser à Chamrousse ?

    Qu’il est beau le « développement durable » de la montagne ! Pour augmenter durablement ses bénéfices, la station de Chamrousse a lancé un nouveau « plan de développement » et aimerait étendre son domaine skiable vers le secteur des Vans (www.actumontagne.com, 18/12/2014).

  • Ne me parlez plus d’attractivité

    Vous êtes lecteur du Postillon et vous avez la désagréable sensation que sa lecture vous fait stagner dans la cuvette ? Ça tombe bien, Le Postillon vous propose dans cet article un voyage, un vrai, un grand. Qui vous emmènera de votre compteur électrique, dont les jours sont comptés, à la Silicon Valley, qui est – comme vous le savez – notre modèle à tous. Un périple qui vous transportera du « Bien » et du « Gid », les premières agences d’attractivité économique grenobloises, à la désormais célèbre AEPI (agence d’études et de promotion de l’Isère), dont les membres sillonnent le monde pour vendre notre chère cuvette. Une odyssée où l’on reparlera de la libération de Grenoble, où l’on évoquera la disparition des emplois suite à l’invasion des nouvelles technologies, et où l’on effleurera la bêtise de l’économie mondialisée. Vous êtes prêt ?

  • Les dernières magouilles de Vallini

    Baron du PS isérois depuis près de 15 ans, l’ancien président du conseil général André Vallini se représente aux élections départementales en mars prochain. Jouant sur les rivalités internes et s’asseyant allègrement sur les règles légales et déontologiques, le secrétaire d’État chargé de la réforme territoriale a, avec le soutien de quelques fidèles collaborateurs, mis en coupe réglée le conseil général de l’Isère. Mais peu à peu, les langues se délient.

  • Qui va à la chasse espère le Center Parcs ?

    On n’a jamais autant parlé de Roybon et de la forêt des Chambaran depuis qu’une Zad (Zone à défendre) s’y est installée le 30 novembre dernier pour lutter contre le projet de Center Parcs (voir Le Postillon n°28). Mais les articles et reportages se suivent et se ressemblent pour la plupart, avec le désormais rituel reportage à la Zad, quelquefois agrémenté de quelques questions aux commerçants ou élus pour le Center Parcs. Le Postillon a voulu décaler le regard et partir à la rencontre des chasseurs de Roybon.

  • « Je fais l’apologie de tout, de rien »

    Si Le Postillon avait déjà réalisé quelques chroniques judiciaires, il leur avait toujours réservé une place réduite. On les a mis à l’honneur pour ce numéro, un peu parce qu’une de nos nouvelles recrues s’est passionné pour les après-midis au tribunal, mais surtout parce qu’on trouve qu’elles racontent bien mieux la vie grenobloise que la plupart des conférences de presse.

  • « C’est un peu facile de décider ce qui doit être bien, sans voir qu’on est en train de crever. »

    Les tournées de distribution du Postillon sont toujours ponctuées de scènes plus ou moins étonnantes dans les bureaux de tabac. Des fois on assiste à des discussions passionnées entre le buraliste et des clients. Des fois on attend des plombes parce qu’il y a une queue de malade, et on est toujours surpris par tous ces gens qui fument, jouent à des jeux de hasard et – beaucoup moins – achètent des journaux. Des fois on a droit à des retours des acheteurs (« vous êtes pas assez ci ou trop ça »), à des encouragements, à des petites vannes, ou à des conseils amicaux de la part du buraliste. Souvent on en ressort fatigué mais amusé.

  • Une pollution certaine, mais mystérieuse

    Depuis cet été, plusieurs centaines de personnes vivent dans un bidonville au sud de Grenoble sur les terrains dits « Allibert ». Cela fait plusieurs semaines que des riverains alertent les autorités sur des risques de contamination à cause de l’amiante. À côté du bidonville, il y a l’ancienne usine Allibert que les habitants du bidonville visitent souvent, notamment pour récupérer certains matériaux. Selon des riverains, ces activités libéreraient beaucoup de poussières chargées d’amiante, mettant en danger la santé des habitants du bidonville et des riverains. Ce risque est-il réel ou fantasmé ? Le Postillon a tenté d’en savoir plus sur l’histoire de ce bâtiment, l’occasion de se rendre compte une nouvelle fois de l’opacité autour des dangers industriels.

  • « Le vrai problème, c’est la langue »

    Pour certains élèves allophones (immigrants non-francophones), l’intégration se fait assez rapidement dans le cadre scolaire. Pour d’autres, le simple fait d’arriver à l’heure à l’école tous les matins relève du miracle. C’est le cas de Marijana, 14 ans, élève en troisième FLE (Français Langue Etrangère). Arrivée de Serbie fin 2013 avec parents, frères et soeurs, elle vit aujourd’hui sous une tente du rond-point d’Allibert... Aller à l’école en vivant dans la rue, c’est possible. Mais pour combien de temps ? Une ancienne collégienne du Postillon a pu recueillir son témoignage, dans ses langues d’origine, forcément grâce à une traductrice.

  • 24 heures à La Morte

    Cet article est le premier d’une série de reportages locaux. Pour chaque numéro, la rédaction du Postillon brûlera trois cierges, pour les situationnistes, pour Albert Londres et pour Hunter S. Thompson, puis enverra sous ce haut patronage un ou plusieurs reporters avec duvets et esprit d’aventure passer 24 heures d’affilée dans un lieu défini. Dans ce numéro, c’est la commune de La Morte, à 50 kilomètres de Grenoble, qui a été retenue pour le tour de cadran.

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