Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Courrier des lecteurs

    Ce matin, je somnolais tranquillement dans le tram pour me rendre à mon boulot quand mon œil endormi a croisé un panneau publicitaire. Lorsque le message publicitaire est arrivé jusqu’à ma petite cervelle de consommateur passif endormi, ça m’a fait sursauter comme un électrochoc. Pendant cinq minutes, je me suis demandé si j’avais bien vu ce que j’avais vu. Je me suis calmé en me persuadant que mon esprit mal réveillé avait dû délirer tout seul...

  • Les couvertures auxquelles vous avez échappé

  • Encore une bavure Piollicière ! 

    Quel est le rapport entre le nouveau parking de la Villeneuve et les lampadaires de Grenoble ? Entre Margaret Thatcher et Eric Piolle ? Entre la CGT et Jérôme Safar ? Entre le conseiller de Michel Destot et les actions que possèdent Eric Piolle à Soitec ? Entre la ville intelligente et les situationnistes ? Au mois d’octobre, une vive polémique a éclaté autour de la gestion des lampadaires grenoblois. Le Postillon tente d’en tirer quelques enseignements afin d’éclairer votre lanterne.

  • Vincent Fristot, l’élu à énergie positive 

    La métropole grenobloise n’en finit pas d’innover ! Après le journaliste intelligent (Le Postillon n°13), l’élue augmentée (Le Postillon n°14), le grand promoteur inutile (Le Postillon n°18), l’arrivée d’une nouvelle équipe à la municipalité permet à notre cuvette de se porter à la pointe de la transition énergétique. Nous avons maintenant la chance d’avoir un prototype d’élu à énergie positive, plus connu sous le nom de Vincent Fristot. Actuellement président de GEG (Gaz électricité de Grenoble) et adjoint à l’urbanisme, au logement, à l’habitat et à la transition énergétique, c’est une innovation développée par Europe-écologie-les-verts (EELV) en partenariat avec Minatec, le premier centre européen pour les nanotechnologies, et l’association Négawatts. L’élu à énergie positive brille tellement qu’il est même membre du conseil scientifique de la fondation pour l’écologie politique, un satellite d’EELV. Partons à la découverte de cette innovation écologique.

  • Sous la novlangue, les humains

    Tout commence par une idée foireuse du rédac’chef : « Ce serait super que tu écrives un papier autour de la gare et de sa future transformation en ‘‘pôle d’échanges multimodal’’. » Ne voyez pas dans son enthousiasme une éventuelle passion pour un sujet original : si le boss veut qu’on parle de la gare, c’est parce que cet endroit, tout le monde connaît, tout le monde y passe de temps en temps, donc : ça peut faire vendre. Le Postillon vous propose donc un véritable article multimodal, entre valises à roulettes, Poste 3, gens de la rue magnifiques et cheminot averti.

  • La vieille dame qui pétille contre le Tahiti de pacotille

    Connaissez-vous les Chambarans et le bois des Avenières ? Non ? C’est normal : pour l’instant il n’y a rien là-bas. Rien d’intéressant : ni centrale nucléaire, ni pôle technologique, ni grandes entreprises. Tout juste trouve-t-on un camp militaire. Et puis de petits villages, des étangs et quelques paysans. Et surtout des forêts. Partout. Des arbres sur des centaines d’hectares. Vous trouvez ça normal, vous, qu’on laisse tel quel ce territoire, inutile, non rentable ? De ne vouloir tirer aucun profit de ces champs bons à rien, mais à une heure de Lyon, Grenoble et Valence ? Vous trouvez décent de laisser les cervidés, promeneurs, pêcheurs, chasseurs, cueilleurs, sylviculteurs, simplement jouir de ces étendues de calme ? Non ?

  • Escroquerie Partner

    Encore un article sur Raise Partner ! Dans notre dernier numéro, nous avons longuement détaillé quelques unes des magouilles réalisées par cette société cofondée par éric Piolle, le maire de Grenoble. Pillage de l’argent public, bénéfices déclarés à l’étranger, arnaque autour d’un brevet : des méthodes représentatives de l’« anti-modèle grenoblois », en tous points rebutantes et pourtant cautionnées par tous les élus et promoteurs de « l’innovation » à la grenobloise.
    Depuis, un ancien salarié et associé de Raise Partner nous a contacté pour nous dire qu’il avait bien aimé l’article - mais qu’il le trouvait incomplet. Luc (pseudo) s’estime victime d’une escroquerie et a entamé des démarches judiciaires pour la faire reconnaître. Son histoire enfonce encore un peu le clou sur cette société et ce qu’Éric Piolle, un de ces « actionnaires très minoritaires » censé représenter « l’autre gauche », « assume ».

  • « Je me suis toujours battue contre l’injustice et je vis en plein dedans »

    Le secteur des aides à domicile est en « tête des secteurs qui recrutent » (L’Obs, 18/11/2014), et représente même - alors que la population vieillit et que le papy-boom approche - « un gisement d’emplois inespéré en temps de crise ». Plus de 500 000 personnes, dont 90 % de femmes, y travaillent déjà. Mais si ce secteur « recrute autant, ‘‘c’est parce que le turn-over y est très élevé : beaucoup de femmes ne tiennent pas’’, assure Loïc Trabut, chercheur à l’Ined et auteur d’une étude sur les aides à domicile. ‘‘L’idée qui prévaut est que le métier ne demande pas de formation, poursuit-il. Certes, le savoir-faire ne passe pas forcément par une certification qualifiante, mais il faut au moins avoir le cœur bien accroché...’’ » (L’Express, 5/12/2013). Salaires misérables, horaires morcelés, tâches pénibles, impossibilité de bien faire son travail dans le temps imparti, agressions verbales, proximité avec la mort, stress : il n’y a pas grand chose à envier dans le quotidien des aides à domicile. Babeth et Latifa (pseudos), deux aides à domicile grenobloises, nous ont raconté la réalité de ce métier, quelquefois beau, toujours ingrat. Leurs témoignages mélangés nous offrent un voyage au pays du prolétariat moderne.

  • Au feptième fiel

    « Je ne pensais pas qu’une structure publique puisse écraser ce qu’elle prétend soutenir. » Toni est une jeune « auteure-compositeure-interprète » grenobloise. Au printemps 2013, Laurent Simon, le directeur de la Régie 2C, lui propose de faire une résidence de longue durée dans une des deux salles de la Régie, Le Ciel, pour enregistrer et co-produire son premier album, et donner son premier concert. La régie 2C est une régie autonome, dépendant de la Ville de Grenoble, dont une des missions est de soutenir et promouvoir les jeunes artistes locaux.

  • La carte du tendre

    Ici on sait recevoir. La Métro, le SMTC (syndicat mixte des transports en commun), l’Entrepôt du Bricolage et Le Daubé (toujours là pour les partenariats avec le pouvoir) se sont alliés pour offrir quatre mille mallettes aux « nouveaux arrivants » de l’agglomération grenobloise (pas les migrants et autres populations en galère, ceux qui ont les moyens). À l’intérieur, un tas de documents promotionnels, et quelques cartes classiques de l’agglomération. Alors, nous aussi, on a voulu faire un cadeau aux habitants de Grenoble, nouveaux arrivants ou pas. Pierre Lazare nous a proposé cette « carte du tendre », comme il l’appelle.

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