Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Le blog augmenté sur papier d’André V.

    Neuf février : Et encore une interview dans un média national. Alors que le remaniement arrive à grands pas, je me place. Comme la Justice ne m’est plus promise - quelle injustice -, j’essaye de montrer mes capacités sur d’autres grands sujets. À l’Opinion (nouveau quotidien « libéral, pro-business, européen » ), je déclare : « Cent ans après 1914, c’est le tocsin d’une autre mobilisation nationale qu’il faut sonner aujourd’hui : la mobilisation de toutes les forces vives du pays qui ont le devoir de s’unir pour sauver la France du déclin.

  • Les Antennes sont-elles bien branchées ?

    Rions un peu avec les « enquêtes » des Antennes, le « gratuit citoyen de la région grenobloise ». Tous leurs dossiers sont articulés autour de pseudo-sondages « inédits » aux résultats parfois inattendus.

  • Tout ça pour une paluche

    Le 20 mars, Manuel Valls vient faire son petit tour à Grenoble pour soutenir Safar, alors en campagne pour les municipales. En sortant de la préfecture, il tombe sur une manifestation de pompiers pas contents. Et là, c’est le drame. Un pompier refuse de lui serrer la main.

  • La plume dans la plèbe

    Le recyclage, c’est pas triste ! Pour les ordures comme pour les journalistes. Claude Francillon vient de faire très fort : juste après avoir arrêté sa carrière de « journaliste » (il a été notamment correspondant local pour Le Monde et Le Point), il vient de se présenter aux dernières élections municipales à Corenc (...)

  • Faut-il avoir été ingénieur pour être maire de Grenoble ?

    Après une rapide étude historique, il apparaît que cette condition n’est pas nécessaire mais quand même recommandée, surtout depuis le début du XXème siècle. Ainsi Éric Piolle est le cinquième maire ingénieur depuis 1900 (après Cornier, Lafleur, Dubedout et Destot) sur les 14 qui ont été élus.

  • La Poste (toujours) Bancale

    Heureusement pour La Poste, France Telecom est passé par là. Aujourd’hui, quand il y a des suicides à répétition dans des entreprises, ça ne fait plus la une des journaux : c’est devenu un peu lassant cette « mode des suicides ».

  • La chasse est ouverte !

    À Grenoble depuis quelques mois, une nouvelle pratique étrange a vu le jour dans les rues de la ville, dans les médias locaux et sur vos réseaux sociaux préférés : une vaste chasse à l’homme (français de préférence, les étrangers sont - pour une fois - épargnés) en âge de voter et résidant dans la capitale des Alpes.
    Tremble, électeur ! Car ton opinion est sondée, ta boîte aux lettres inondée de tracts, ta voix mise à prix : voici venue l’heure du grand Safari.
    Cette traque sans pitié, organisée par le Parti socialiste et ses alliés ne répond qu’à un objectif : obtenir, de gré et parfois de force, la moindre voix pour la ramener en trophée à Jérôme Safar, successeur désigné par Michel Destot pour accéder au trône municipal.

  • Comment j’aurais pu être sur la liste du FN

    Lettre à Alexis Jolly, candidat du Front national à Échirolles.

    Salut Alexis,
    On s’est vu quelques fois, on a échangé quelques mails, et pris l’habitude de se tutoyer. On se connaît à peine, et pourtant je t’écris une lettre, à l’ancienne. À l’époque de Twitter, Facebook et compagnie, je ne sais pas si un jeune homme comme toi, de vingt-trois ans, reçoit beaucoup de lettres. Mais j’espère que tu prendras le temps de la lire. Alexis, j’ai une grande nouvelle à t’annoncer. Je t’ai menti. Voire même : je me suis bien foutu de ta gueule. Rien de bien méchant, c’était pour la bonne cause. Laisse-moi t’expliquer.

  • À quelle sauce sera mangée la banlieue rouge ?

    À Fontaine, l’une des communes de la « ceinture rouge » grenobloise, le maire sortant Yannick Boulard (PCF) ne se représente pas, après trente ans à la tête de la ville. Sept listes s’affrontent pour sa succession. Le Postillon a fait appel à son meilleur élément qui n’est ni journaliste, ni sociologue mais simplement Fontainois. Au moins, lui sait de quoi il parle.

  • L’ubiquité sans ambiguïté

    Tout beau, tout vert. Le « Grenoble du futur » qui se construit se veut résolument moderne, loin du nucléaire et des vieilleries du passé. Durable. On sait que ce mot creux et consensuel est utilisé à toutes les sauces, et parfois de façon très stupide. La nouvelle fierté des élus locaux est de qualifier Grenoble de « ville durable », soit littéralement « ville qui dure ». Derrière cette grande ambition - quelle ville ne veut pas durer ? - un nouveau modèle urbanistique se dessine, pas si loin du meilleur des mondes. Ce second épisode part à l’abordage de la « ville intelligente », de son « paradigme ubiquitaire » et de ses milliards de capteurs.