Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Le potentiel subversif du haricot

    Le 10 décembre, Le Daubé sort un scoop : « Des pneus de 4x4 crevés au nom de la défense de l’environnement. » Encore une fausse information : ces pneus n’ont pas été crevés, mais simplement dégonflés. Comment ? Roger nous raconte tout, en rebondissant sur les deux articles du Daubé (10/12/2021 et 13/12/2021) consacrés à cette affaire.

  • Jacquot, le brûleur de palais

    Dans le numéro précédent, j’ai fait le portrait de Nasa, Don Quichotte de Saint-Martin-le-Vinoux. On y entrevoyait Jacquot, un de ses amis proches, ancien SDF et taulard, qui m’a invité au repas de Noël organisé chez lui par l’association d’aide au logement Totem. Je comptais y faire un reportage sur un moment d’entraide et d’allégresse. C’était sans compter la vague d’annulations prophylactiques qui, comme pour tant d’autres petits événements, n’aura pas épargné ce modeste repas. Qu’importe, l’abattement n’entrant pas dans mes attributions, je vous propose tout de même d’aller à la rencontre de Jacques Petitpas.

  • Parachutes plombés pour PDG

    De quoi se plaignent les habitants des quartiers populaires ? Selon la Cour des comptes, 10 milliards d’euros sont consacrés chaque année aux « quartiers ». Mais où va ce pognon de dingue ? Les deux pages de reportage dessiné n’ont pas suffi pour évoquer ce qui a sauté aux yeux de la service civique du Postillon lors de ses nombreuses rencontres : le dévoiement des subventions pour les asso’, le parcours du combattant pour toucher les prestations sociales et la grosse arnaque de l’Anru.

  • Derrière la « marque », l’arnaque

    Que se passe-t-il à Métrovélo ? Depuis notre précédent article du mois de septembre (« Pour pédaler, cliquez ici » dans le n° 62), évoquant de nombreux dysfonctionnements – notamment informatiques – et un profond malaise, le service a changé de nom pour répondre désormais à l’appellation poétique de Mvélo+. Une opération de « rebranding » accompagnée d’une situation sociale encore empirée : les départs de salariés et les opérations d’enfumage s’enchaînent.

  • Greenioble, capitale verdâtre

    Verdâtre : « qui est d’un vert un peu sale, trouble  ».
    Pourquoi la politique soi-disant écologiste menée dans la Métropole grenobloise est-elle très sale et trouble ? Réponse dans les commentaires d’une partie du discours de Piolle à la cérémonie d’ouverture de Grenoble Capitale Verte.

  • Noël sans balcon, presque en prison

    Début décembre, les habitants d’un immeuble de l’Île verte ont vu leurs balcons condamnés quasiment du jour au lendemain.

  • « Madame, je passe mon temps en prison... »

    Le 31 janvier dernier, des bataillons de journalistes caméras et micros au poing envahissaient la salle des pas perdus du tribunal de Grenoble. C’était le premier jour de « l’affaire Maëlys », une de ces histoires aussi sordides que spectaculaires dont la presse aime faire ses choux gras. Le Postillon a préféré aller en salle 5, voisine de la cour d’assise bondée, où défilent les prévenus jugés de façon expéditive en comparution immédiate.

  • Quartier haute sécurité

    Quand Hubert était enfant, il n’y avait pas de grillages autour de sa barre d’immeubles de Pont-de-Claix. Pas de portail, pas de badge, pas de caméra, pas de pancartes d’interdiction dans le hall d’immeuble de «  sa » montée 5. Toutes sortes de réjouissances sécuritaires dont Hubert constate la multiplication à chaque fois qu’il rend visite à ses parents. Alors il revient dans ce texte sur quarante années « d’engrillagement » et se questionne sur cette extension du domaine de la méfiance.

  • La rivière qui n’existait pas

    Être un peu bourré, est-ce la bonne manière de se plonger dans les eaux de Grenoble ? Oui, et non. Parce que le risque de noyade est élevé, surtout l’hiver. Mais oui parce que l’imagination se déploie, et imaginer la ville et la vallée des centaines d’années en arrière, ça en demande beaucoup, de l’imagination. Sous les pavés de Grenoble, de l’eau ! Et pas n’importe laquelle : celle du Drac.

  • La déliquescence des musées

    Mais quelle malédiction touche donc les grands musées grenoblois ? Malgré les millions d’euros injectés, trois des grands bâtiments de l’Art avec un grand Q subissent avaries et fuites en tout genre. Quel musée est le plus déliquescent ? Émilette a mené l’enquête.

0 | ... | 120 | 130 | 140 | 150 | 160 | 170 | 180 | 190 | 200 | ... | 1360