Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Wauquiez en plein e-trip, shooté au silicon

    La région dirigée par Laurent Wauquiez a produit un document « 2021, la Silicon Vallée européenne » censé faire rêver dans les chaumières auvergno-rhône-alpines. Rendez-vous compte : avec « l’E-pass citoyen », les élus de droite promettent « une vie quotidienne facilitée ». Au menu : « grâce à mon e-pass individuel et sécurisé, je valide l’accès à la navette autonome qui me dépose au travail. Puis en sortant du bureau, je monte à distance le chauffage de mon appartement et je vais visiter une exposition (...)

  • La contestation du Linky innove

    La métropole grenobloise toujours première sur l’innovation ! On a vu comment (Le Postillon n°35) quantité de responsables locaux militent pour le nouveau compteur « intelligent », symptomatique du foutage de gueule de la « transition énergétique », où des gadgets énergivores sont censés nous aider à consommer moins. Des militants anti-Linky ont réalisé une première nationale : enlever un compteur Linky existant, qui avait été posé contre l’avis de l’habitant, et rebrancher un ancien compteur. Le 3 (...)

  • Abonnez vos ennemis

    Depuis notre procès perdu contre le maire de Pont-de-Claix Christophe Ferrari, vous êtes nombreux à vous inquiéter pour notre santé financière. Grâce à notre politique salariale audacieuse, reposant principalement sur le bénévolat, les quelque 6000 euros que nous aura coûtés cette aventure judiciaire (entre les frais d’avocat, les dommages & intérêts et les remboursements de frais de justice) ne nous plombent pas trop. En clair : on n’est pas en danger financièrement, surtout après tous les dons (...)

  • Préserver l’entre-soi des riches

    Le collège Fantin Latour, situé dans le quartier Saint-Bruno de Grenoble, déborde. Cette année, les classes sont déjà pleines et les prévisions pour les prochaines années annoncent que l’établissement ne pourra pas accueillir tous les collégiens du quartier. Devant l’inquiétude des ensei-gnants, le Conseil départemental et le rectorat ont présenté leur solution : les élèves situés près des « grands axes » (le cours Jean-Jaurès ou le cours Berriat) iront étudier à Fontaine ou Saint-Martin-le-Vinoux, même s’ils (...)

  • Dur avec les faibles, faible avec les (or)dures

    Après le Bas-Rhin et l’Eure, c’est au tour du Conseil départemental de l’Isère d’organiser la chasse aux pauvres, et notamment aux allocataires du RSA. Jean-Pierre Barbier, président Les Républicains du conseil départemental de l’Isère, flirte intentionnellement avec l’illégalité en exigeant l’accès aux comptes bancaires des bénéficiaires du RSA. Le Postillon a eu une copie d’un courrier envoyé à deux allocataires différents, les invitant à venir à un rendez-vous pour « procéder à la vérification de l’ensemble (...)

  • Délinquance innovante

    Dans Le Daubé, le quartier Mistral atterrit sempiternellement dans la colonne des faits divers. Mais pour une fois, les flics de Grenoble ont trompé nos braves journalistes locaux et c’est dans les colonnes du Parisien (6/02/2017) qu’on a appris que des adolescents de Mistral avaient fait preuve d’ingéniosité, en inventant une nouvelle arnaque. Ils se sont introduits par effraction dans nombre d’écoles et gymnases la nuit pour y passer des coups de fil. « Ces adolescents, décrits comme des férus (...)

  • Des palissades contre un « refuge »

    Au début de la rue du Drac de Grenoble, il y a un petit terrain vague, au milieu de la propriété d’ARaymond. Pour éviter qu’il serve de parking sauvage, la multinationale du bouton-pression avait fait installer des barrières il y a plusieurs années, permettant quand même aux piétons de profiter d’un des seuls espaces inutilisés du quartier. Depuis, ce terrain était seulement squatté de temps en temps par quelques fêtards. Début février, une bande d’amis y a installé un petit « refuge ». Construit en forme (...)

  • La justice nous indique la longueur de la laisse

    Ce lundi 30 janvier, on est sortis du tribunal avec NTM dans la tête. La Cour d’appel de Grenoble vient de nous condamner à 2000 euros d’amende pénale avec sursis : on les paiera peut-être au bon vouloir d’un juge, dans l’éventualité d’une condamnation dans les cinq ans à venir. Une muselière pour qu’on apprenne la « prudence dans l’expression  ». On doit, en outre, verser 500 euros de dommages et intérêts à Christophe Ferrari, et 1000 euros à Yveline Denat. Enfin, même si le juge ne les a pas mentionnés, on doit a priori également rembourser leurs frais d’avocat, soit deux fois 1200 euros pour une diva qui n’a pas daigné assister au procès en appel.
    Au total, ça fait donc une somme de 3900 euros à cracher pour ces gens nécessiteux, contre 6900 euros en première instance (pour rappel, Ferrari et Denat réclamaient 21000 euros à eux deux).

  • Délocalisez-vous !

    Salut Medhi et Cédric. On ne se connaît pas : sans doute n’avez-vous jamais ressenti le plaisir de lire Le Postillon, même si vous êtes tous les deux grenoblois. Vous n’êtes pas élus, chefs d’entreprise, ou responsables de quoi que ce soit, donc a priori nous n’avons aucune raison de parler de vous sans vous prévenir.
    Mais vous avez la chance d’avoir été choisis complètement arbitrairement pour notre « portrait Twitter ». En 2009, le curieux magazine Le Tigre avait fait sensation en dressant le « portrait Google » d’un inconnu, entraînant un débat national sur la quantité d’informations privées laissées sur Internet. Depuis Le Tigre a hélas disparu, en même temps que les possibilités de livrer sa vie privée aux internautes se sont démultipliées. Joie du monde moderne : il y a maintenant des applications de géolocalisation qui permettent de littéralement suivre à la trace des inconnus.
    Chers Mehdi et Cédric, vous en êtes adeptes, quoique de façon très différente. Grâce à vos comptes Twitter et Instagram, on va donc raconter un peu vos vies. Pardonnez-nous cette indélicatesse, mais après tout, vous n’aviez qu’à faire un peu attention.

  • Pourquoi les bibliothèques ont été sacrifiées

    Entre chaque numéro, nous recevons notre lot de mails et autres courriers anonymes plus ou moins instructifs, plus ou moins sympathiques… Le dernier reçu est une petite bombe : il révèle qu’en août 2015, contrairement à ce que Piolle affirme depuis la présentation du Plan de sauvegarde en juin 2016, il y avait plusieurs scénarios budgétaires sur la table, tous évitant la mise sous tutelle préfectorale. La municipalité a délibérément choisi celui qui sacrifiait certains services publics (le fonctionnement) au profit d’investissements électoralistes de fin de mandat.

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