Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Les carnets intimes de nos élus

    Les politologues le répètent : une des grandes causes du désamour entre le peuple et les politiciens, c’est que ces derniers ne sont pas assez « proches des gens ». Pour remédier à ce défaut de proximité, Le Postillon offre à ses lecteurs des extraits du carnet intime de personnalités politiques locales. Après avoir ouvert dans nos précédents numéros les carnets des sous-ministres Geneviève F. ou André V., on révèle dans ce numéro les contenus des écrits persos des militants de l’UMP de l’Isère et des élus du « rassemblement des citoyens de la gauche et des écologistes » de Grenoble (tous les faits et les citations sont exacts).

  • « Le problème, c’est l’accès à la terre »

    « Est-ce que les élus de la cuvette soutiennent les petites agricultrices locales comme moi ? C’est ambigu. Tu vois le marché de l’Estacade ? Il est censé y avoir deux marchés : au sud, celui des revendeurs, au nord les petits producteurs. Au sud, quasiment tous les légumes viennent du Marché d’intérêt national (MIN) rue des Alliés. Bon, c’est des produits qui viennent souvent du sud de la France ou d’Espagne, généralement fabriqués dans des conditions désastreuses d’un point de vue écologique et humain.

  • Piolle, jusqu’audube-doutiste ?

    Une des promesses du nouveau maire EELV Eric Piolle est de faire vivre « une ville à la démocratie renouvelée » avec un « pouvoir d’agir pour chaque habitant ». Son équipe presse les habitants – et notamment les membres des associations – à s’engager dans les différents chantiers municipaux. Est-ce un piège ? L’éternel étudiant en histoire du Postillon tente un parallèle pour éclairer nos lanternes.

  • « Combien je vais me prendre d’insultes aujourd’hui ? »

    C’est certainement un des métiers les plus détestés, à Grenoble comme ailleurs. Rencontre avec un contrôleur, passé par la SEMITAG (Société d’économie mixte des transports de l’agglomération grenobloise) et la SNCF.

  • Traite d’êtres humains et profits en tous genres

    Depuis 2007, la prostitution de rue est de plus en plus visible à Grenoble, ce qui ne manque pas de provoquer des réactions des honnêtes gens. Pour rassurer les électeurs, les autorités ont mené plusieurs opérations censées lutter contre les proxénètes et les « réseaux ». Mais les grands mots n’ont rien changé au sort misérable de ces femmes victimes de traite d’êtres humains.

  • Quand les journalistes « allaient sur le pré »

    Les journalistes ne se sont pas toujours envoyés des piques uniquement sur Tweeter. En 1887, les rédacteurs en chef de deux quotidiens grenoblois s’affrontent dans un duel à l’épée, largement relaté dans la presse nationale. Aucune cause sérieuse à ce combat qui blesse l’un des deux rédacteurs et fait perdre son travail à l’autre, juste quelques vannes écrites dans leurs journaux respectifs.
    Rassurons monsieur Jean-Pierre Souchon, rédacteur en chef du Daubé : pour une fois, Le Postillon ne donne pas dans le « c’était mieux avant ».

  • Pourquoi l’île d’amour ?

    « A part la météo, on a eu un bon été ici. Tout s’est bien passé, on a juste eu une bagarre et un accident ». En ce dimanche ensoleillé de début septembre, les deux agents de sécurité qui patrouillent dans le parc de l’Île d’amour, à Meylan, sont plutôt tranquilles. Leur entreprise privée est payée par la communauté d’agglomération pour veiller sur ces 26 hectares de verdure.

  • Une communicante de Carignon à la rédaction en chef du journal municipal

    Suite à notre offre de services à la mairie pour réaliser un véritable journal municipal indépendant (voir Le Postillon n°26), le maire nous a répondu. Voici son courrier en entier, entrecoupé de nos commentaires.

  • « Grenoble, capitale européenne du nucléaire ! »

    C’est le slogan du salon Nuklea, qui se tiendra à Alpexpo le 1er et 2 octobre prochain. On ne sait pas où ils ont trouvé leurs communicants, mais faut avouer qu’ils réussissent à bien mettre les pieds dans le plat. Présenter Grenoble comme « capitale européenne du nucléaire », ça ne doit pas faire plaisir, ni au nouveau maire vert Eric Piolle, ni au directeur du CEA (Centre d’énergie atomique) Jean Therme, qui martèle depuis des années que le site du CEA-Grenoble a définitivement tourné la page de l’atome.

  • Drones : un envol et un crash

    Une activité dronement riche dans la cuvette : juste avant l’été, une nouvelle start-up grenobloise, Squaredrone, a annoncé qu’elle allait développer un « drone intelligent » pour les sportifs. Hexo+ - c’est son nom - c’est un peu la GoPro en mieux : le drone pourra suivre les sportifs « de l’extrême » (skieurs, VTTistes, motards, etc) à la trace via leur smartphone et filmer leurs prouesses avec des angles inédits. Quelle bonne idée !