Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • La fabrique du consentement à la grenobloise

    Depuis un an, on subit les décisions de restriction de libertés d’un pouvoir autoritaire, qui contraint les allées et venues de chacun sans même prendre la peine d’en débattre au Parlement. Heureusement, la municipalité grenobloise a été une fois de plus pionnière en lançant son « comité de liaison citoyen » sur le Covid-19 afin de faire vivre la « démocratie sanitaire ». À quoi ça sert ? Une vidéo nous apprend qu’il s’agit bien plus de fabrique du consentement que de démocratie.

  • La rue à feu couvert

    « Elle est où la fête ? » pourrait être le titre de cet article mais la fête est annulée. De 19h à 6h du matin, les rares ombres dans la rue sont au travail ou hors-la-loi. Convaincu que la nuit ne meurt jamais, Le Postillon a cherché des traces de la vie après le couvre-feu le soir du jeudi 25 mars, de la passerelle saint Laurent à la gare, du parc Paul Mistral à Saint-Bruno. Bilan : inestimable.

  • Sylvie, Ahmed, et le marchand de sommeil

    Des taudis, il y en a partout, même dans les beaux quartiers. Sylvie et Ahmed étaient voisins au 59, avenue Alsace Lorraine, à deux pas de la gare, dans un logement à peine habitable. Mais le pire, c’est qu’ils se sont fait virer sans être relogés.

  • L’asile soigne sa sécurité

    Alors que la nécessité de soins psychiatriques explose après un an de restrictions et de vies empêchées, certaines pratiques du centre hospitalier Alpes-Isère (Chai) de Saint-Égrève, principal hôpital psychiatrique du département, sont problématiques. Ces dernières années, plusieurs abus d’enfermement ou d’attachement ont été signalés par des soignants ou des familles de patients. Alors que les caméras ont poussé sur le site, des soignants regrettent toujours le manque de moyens humains et matériels pour faire face à la vague psychiatrique qui ne fait que commencer.

  • La clé à molette des champs

    Loin de se limiter aux seules métropoles, le déferlement high-tech s’abat aussi sur les campagnes et les activités agricoles, transformant peu à peu les anciens paysans en simples opérateurs de machines. Pour contrer ce mouvement de fond, une coopérative d’autoconstruction de machines agricoles s’est monté il y a une dizaine d’années en Isère. L’Atelier paysan – c’est son nom – aujourd’hui installé à Renage, à trente kilomètres de Grenoble, connaît un petit succès et une croissance importante ces dernières années. Discussion avec deux de ses membres autour de la philosophie, des questionnements et des limites de cette structure.

  • Des greniers grenoblois à la guerre d’Espagne

    Le saviez-vous ? À la fin des années 1930, un anarchiste cambriolait les greniers grenoblois pour financer notamment les révolutionnaires espagnols. Une histoire que Le Daubé a failli raconter...

  • Enclavé dehors

    Des fois, des bouts de terres ont des histoires rocambolesques. C’est le cas de neuf hectares presque vierges sur les hauteurs de Seyssins. Déjà, une clinique s’est construite dessus dans la plus parfaite illégalité. Et maintenant, un conflit dur oppose le propriétaire Brice Jimenez avec certains de ses voisins et la mairie. Plongée dans un imbroglio sur le devenir de cette mine d’or foncière.

  • Souriez, vous êtes opérés

    Les nouvelles salles des blocs opératoires de l’hôpital de Grenoble sont truffées de caméras de vidéosurveillance, ce qui inquiète certains soignants.

  • L’hôpital au secours des vélos électriques

    Deux médecins haut placés du Chuga (centre hospitalier universitaire Grenoble-Alpes) utilisent leur aura de soignant pour faire la pub’ du vélo électrique. Incroyable coïncidence : le fils de l’un d’eux dirige EbikeLabs, start-up qui vend un système électronique pour vélos électriques.

  • Big bro vert

    Avez-vous remarqué le récent développement de la vidéosurveillance dans les rues grenobloises ? Alors que les opposants de Piolle n’arrêtent pas de l’attaquer sur son manque d’entrain à installer des caméras, il y a quand même presque deux fois plus de caméras aujourd’hui qu’à son arrivée à la mairie. Les récentes installations, qui n’ont jamais été présentées ou débattues publiquement, vont servir à lutter « contre les incivilités routières » selon l’adjointe à la tranquillité publique Maud Tavel. Si Piolle dit s’opposer au modèle de la smart city, ce développement de la vidéosurveillance assumé par les élus verts-rouges ne peut que renforcer ce modèle.

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